Panique sur la ville - Première mission

HP :
Alors voilà le début de la mission. Je la poste un jour plus tôt, comme ca, c’est fait :p. Si vous ne commencez que demain, pas de soucis.
Alors petite règle concernant la mise en forme :
P : Personnage (IG)
HP : Hors personne (commentaire non inclus dans le jeu)

De manière générale, je vous invite à lire (ou au moins survoler) les deux pages suivantes :
http://academie.sw-mi.org/cours/1a.htm
http://academie.sw-mi.org/cours/1b.htm surtout celle là






P : Conteur Teincher (si je mets un jour Caius, vous en étonnez pas.. l’habitude :p)

Gare de Paris EST.


Un groupe de fan de Star Wars se regroupe en face du TGV-est européen, direction Metz, pour « la » conférence annuelle francophone de Star Wars, on parle même d’une intervention de Lucas.
Un groupe de fan belge est aussi présent (501eme :p) et attend le départ du train avec les Parisiens et autres Français.

Il est seulement 18h, mais plusieurs personnes ont pris un MacDo à emporter (les prix du board-restaurant sont trop élevés !). Des odeurs de graisse et de coca envahissent le quai.

(10minutes passent)

L’attente se fait longue et les portes sont encore fermées, même si le temps est humide et un peu frais. Si vous aviez su, vous auriez pris un pull plus chaud, car on pourrait tomber malade avec un temps pareil. On peut entendre par moment une personne se moucher ou éternuer.
C'est d'ailleurs inadmissible de la part de la SNCF ! Car comme d'habitude, le hall d'attente est en travaux.

(5minutes passent encore)

Les regards s’évitent entre les futurs passagers du train, sauf pour ceux qui se connaissent, autant dire presque personne, si on ne tient pas compte des wallons.

Voilà ! Les portes s’ouvrent et les clients SNCF commencent à entrer.

Un jeune avec des écouteurs sur les oreilles s’avance et passe le premier, coupant la route à une femme de 50ans, bien habillée, quasi-artisto.
Ceux qui sont juste à coté de cette dame peuvent entendre « petit con ». Elle n'a pas tord, vous avez cru entendre le titre "Jeune et con" de Saez, s'échapper des écouteurs du d'jeuns.

// Dans le train

Tout le monde dépose ses bagages au dessus des sièges et s’installe à son fauteuil pour se réjouir d’être au chaud et au sec. Vous êtes d'ailleurs surpris par le desing intérieur

Spoiler:

Le train démarre.

-Voix venant d’un haut parleur :
Mesdames, messieurs, bonjour, je suis le commandant Krieger, conducteur du TGV est-européen reliant Paris à Stuttgart. Notre prochain arrêt sera Reims, si vous avez une question, je vous invite à contacter un membre de l’équipage qui se tient à votre disposition. Je vous souhaite à agréable voyage avec la SNCF
Welcome on board ladies and gentlemen. This train connects Paris and Stuttgart. Our next stop is Reims. If you have any question, please, ask our team. I wish you a nice trip with SNCF.

HP : Libre à vous de décrire le voyage, voir à interagir entre vous.

P :

Une heure environ après avoir quitté Paris (et avoir dépassé Reims), le train ralentit qui freine plus ou moins fortement.

-Voix venant d’un haut parleur :
Mesdames, messieurs, suite à un incident mineur sur les voies, le train va marquer un court temps d’arrêts. Nous vous invitons à vous rendre dans la voiture restaurant où une boisson vous sera offerte.
Ladies and gentlemen……

// A vous ^^

P : Kabrial
"... c'est quoi encore que ce bordel !? ... " *murmurant*

P : Conteur Teincher

// cabine du conducteur

*- Krieger : Ici le TGV-est 546. Que se passe t’il ? Pourquoi est-ce qu’on m’a fait enclencher le freinage d’urgence ?*

*-Gare de Reims : On n’a pas beaucoup d’information, mais d’après la gare de chalons-en-champagne, il y aurait eu un cas de suicide sur une voie parallèle à la votre, il y a 10minutes. Un TER a percuté une personne de plein fouet, du coup, on ralentit le trafic. Je vous recontacte quand on aura plus d’info.*

Krieger lâcha un soupir : et dire que j’ai quitté la DeutschBahn pour le réseau européen à cause des retards systèmatiques, je vois que c’est partout pareil.

// Voiture des voyageurs (HP : vous êtes tous dans la même voiture de TGV)

Après avoir entendu le message du pilote, annonçant un incident sur les rails, des rires jaunes, des soupirs et des critiques ce sont faites entendre. Un flamand (accompagnant les belges wallons) c’est fait traduire, par un copain, l’intervention de Krieger. Le résultat est un joli juron néerlandais qui donnerait des convulsions à un prêtre.

Une jolie jeune femme, assise en face de Karl se retourne vers le gaillard.

*-Natacha : Entschul... euh pardon, moi pas bon parler français. Parler english ou allemand ? Pas comprendre quoi se rendre ici.

*-Karl : ??

Sur le coté, Danny a vu et entendu cette petite scène. Cela l’a même tiré d’une rêverie qu’il y eu en regardant le soir dans la campagne champenoise. En regardant la jeune fille, il peut voir qu’elle a les traits allemand, elle aurait même le « type » bavarois.


Quant à John, son téléphone se met à sonner. D’’après l’écran de son téléphone 3G il peut voir écrit : Secrétaire boulot. La sonnerie est stridente.

// 5 minutes passent

Soudainement, des bruits à l’extérieur se font entendre… et des coups sont portés contre la porte de la voiture. Comme si quelqu’un frappe avec ses poings dessus ou ses pieds.

Tout le monde est surpris et un petit silence s’installe. Pour briser cette atmosphère plus ou moins pesante, une personne dans l’assistance lance :

*C’est le fantôme de Mr Champagne qui veut qu’on lui paye un coup à boire*
Des rires s’en suivent, jusqu’à ce que la porte s’ouvre……..

// Durant ce temps dans la cabine du conducteur

Le conducteur est en communication avec la gare de Reims

*-Gare : On vient d’avoir plus d’info. Ce qui c’est passé est étrange et la situation est confuse. Il semblerait qu’un suicide collectif ait eu lieu. On n’en sur de rien, mais il se pourrait que cela soit lié à une secte ou à des terroristes. Un groupe de militaire du plan vigipirate va venir à votre rencontre pour s’assurer que tout va bien, les TGV ont déjà fait l’objet de menace des islamistes. Mais ne dites rien aux passagers, il ne faut pas les affoler.*

P : Schultz
Schultz (tout le monde l'appelait comme ça) s'endormait sur sa banquette lorsque le train s'arrêta. Il n'avait pas beaucoup dormi la nuit passée et manquait de sommeil. Il observe l'agitation des passagers, passif. Il remarqua une jolie jeune fille probablement teutonne, vu sa façon de parler. Il la trouva charmante mais décida de ne pas mêler de la conversation, malgré que l'homme à qui elle s'adressait n'était manifestement pas bilingue. Après tout, ce n'était pas ses affaires. Il sorti une flasque de sa poche intérieure et en bu une gorgée : du cognac. On est chauvin ou on l'est pas, se plaisait-il à plaisanter.
Alors qu'il commençait à retrouver le sommeil, Schultz fut réveillé par des bruits sourds : on frappait manifestement contre les portes de la voiture. Certains passagers commencent à prendre peur. A peine sorti de son semi-sommeil, il profita du premier moment de silence pour balancer à voix haute :
« C’est le fantôme de Mr Champagne qui veut qu’on lui paye un coup à boire ! ! »
du fond de son fauteuil, discrètement mais suffisamment fort pour amuser la galerie sans qu'on sache d'où cela venait.
Il regarda à sa fenêtre pour voir s'il quelque chose était visible. Si des jeunes drogués altermondialistes s'attaquaient au train, ce serait une stratégie assez débile, pensa-t-il.

HP : mode rapidos

P : Conteur

Citation :

Il regarda à sa fenêtre pour voir s'il quelque chose était visible. Si des jeunes drogués altermondialistes s'attaquaient au train, ce serait une stratégie assez débile, pensa-t-il.

De ton coté du train, tu ne peux rien voir. Ah attends, si
Tu n'es pas sur, mais apparement il y aurait une ombre humaine qui marcherait le long du train. Non, deux.
Elles marquent une pause maintenant et tente d'ouvrir la porte du train (tu penses deviner un beret sur la tête de ces deux silhouettes).

// 2 microsecondes plus tard

Une fois la porte ouverte, deux soldats pénétrent dans le train. Tout le monde peut les voir, ce qui provoque de l'étonnement.

*- Caporal : Plan vigipirate bonjour. Veuillez tous regagner vos sièges, nous allons procédé à un contrôle d'identité pour votre sécurité. Merci de coopérer.*

// A vous

P : Kabrial
Alors qu'une créature de rêve lui adressait la parole dans un langage qu'il ne connaissait pas, ce dernier soupira, las de ne pouvoir donner suite à cette converse. Comme pour lui faire comprendre qu'il ne pouvait poursuivre cela, ce dernier détourna le regard qui se figa sur un homme assez mince. Cet homme au visage disparate semblé être le reflet d'une torture psychique. Torture psychique si puissante que les traits du visage de cet homme n'en avait pas échappés. Un homme qui noyait son temps dans des émanations alcooliques, du moins c'est ce qu'imaginé Kabrial. Néanmoins, ça semblait se confirmer quand ce dernier porta à ses lèvres une sorte de flasque dont le contenu était certainement de nature alcoolisé.
Kabrial erra dans ses pensées, il passait en revue ce qu'il allait faire une fois arrivé à destination. Quand soudain il revint à lui, il ne pu dire si cet égarement psychique avait duré 10 secondes ou 5 heures, mais quoi qu'il en soit, ce retour à la réalité fut la conséquence de l'entrée dans la voiture du tgv de deux soldats. Kabrial fut sensiblement étonné. L'un d'entre eux, le supérieur hiérarchique ? se demanda Kabrial, s'exprima.
Qu'il ne s'amuse pas à jouer le cow-boy avec moi celui-là, pensa le colosse en tirant sur ses cheveux pour les réajuster.

P : Schultz
Je sursaute lorsque les portes du wagon s'ouvrent. Je n'ai jamais particulièrement affectionné les uniformes, et encore moins les militaires.

Qu'est ce qu'ils foutent là ? Vigipirate ? Décidément, ces adeptes du tout sécuritaire se raccrochent à n'importe quoi. Je pris une inspiration profonde, comme contrarié, et me met à fouiller ma veste pour y trouver mon portefeuille. Avec ce bordel, c'est sûr, Je vais arriver en retard. C'est peut-être un coup du destin, va savoir... Ça ne sert surement à rien d'aller voir Ada, après tout... Bah, n'y pensons plus.
Je jette un coup d'œil rapide autour de moi. La brute de service a visiblement délaissé la jolie teutonne, et examine à présent celui des deux militaires qui a des petites barrettes jaunes au niveau des épaules. Surement le plus gradé des deux, mais pas très haut placé non plus, vu leur nombre.
Une femme attire mon attention. La trentaine environ ; plutôt pas mal, quoi que le peu de maquillage qu'elle portait ne suffit pas à cacher les sacoches qu'elle a sous les yeux. Sans doutes une fatiguée, elle aussi. Elle regarde les deux soldats avec insistance. On jurerait à son expression qu'elle rêve d'intervenir, de poser des questions. Sans doutes ce genre de personne qui veut se rendre utile en permanence. Trop altruiste pour moi tout ça.

HP : je cherche encore mes marques au niveau temporel, personnel, z'inquiétez pas si je passe de la 1ère à la 3ème personne d'une intervention sur l'autre. Ça se stabilisera à terme ^^

HP : Caius
Ce soir a lieu la "weihnachtsfeier" de mon labo.
En gros, je risque de ne pas rentrer très tot (ni très sobre ). Donc je ne pense pas répondre ce soir (ou alors attention au dégat )

Je vous fait donc un petit message pour vous permettre d'avancer. Je sais qu'il n'y a pas encore d'action, mais ca va venir. et puis se temps calme vous permets d'assoir vos perso ^^

Au retardataires : N'hésiez pas à nous rejoindre, c'est encore possible. Et si l'envie vous prends d'ici à qq jours : contactez moi pas MP

A dernière chose, j'écris du labo, donc avec un clavier allemand, veuillez donc me pardonner les accents et les cédilles

P : Conteur

Les militaires commencent -poliment- à controler les papiers. Ils s'approchent de chaque passager et leurs demandent la chose suivante :

*-Soldat : Bonjour, controle d'identité, j'aimerais voir votre carte d'identité ainsi que votre titre de transport.*

*-A vous :

*-Soldat : Quels sont les motifs de votre voyage ?*

*-A vous :

En arrivant au niveau de l'allemand, le soldat se heurte à la barrière de la langue.

*-NAtacha : Je ... je pas comprendre. I am sorry, I don't understand, what should I do?*

*-Soldat : Put** comment on dit déjà carte d'identité chez les schwob?*

*-Soldat 2 : Ausweis. Personal ausweis. Et c'est farhschein pour le ticket de train*

En entendant cela, la fille s'agita en cherchant quelque chose dans son sac à main (de facon si soudaine que le soldat1 devient un peu nerveux et prit une attitude défensive).
En fin de compte, Natacha sortie son passeport allemand et son billet de train.
Le soldat préféra ne pas lui demander ses motivations de voyage... il marquera "retour au pays" dans son rapport.

//A moins que vous ne décidiez de faire des soucis, la suite se passe de la facon suivante

Antoine, qui c'est fait discret jusque l'a, entendit la radio d'un militaire grésiller.

*-Voix : Caporal ? Ici Hicham. RAS dans les wagon de queu. On vient à votre rencontre.*

//

Catherine, en regardant par la vitre vit -au loin- une lumière dans la nuit. Une faible lumière (semblable à la lueur émanant d'une lampe de poche). Elle remarque aussi que la lueur se rapproche du train et qu'elle n'est pas très stable, comme si son possésseur était entrain de courir.


//A vous

P: Cachou

je coupé ma musique , le bon vielle album de SeaZ , jeune et con , le plus grand titre de SeaZ
Je vis les soldats entrées et posèrent leurs questions , j'ouvris mon sac et trifouilla pour trouver mon billets et ma ...

-et merde ... où est c'te foutu carte , roo j'ui bête , mon portefeuille poche arrière droite du jean

Les soldats m'approchèrent , le Caporal me demanda me carte d'identité , mon ticket de train que j'avais pas composter par manque de temps , le second soldats me demanda la raison de mon voyage , je lui expliqué que je partais dans l'une des université des études de la transformation des matériaux industrielle , il fit la mou et me dit ok

Les premières questions qui me vinrent en tête c'était , pourquoi un plan vigipirates ? quesqui peut bien se passé
pourquoi d'autres militaires rejoigne nos deux militos a nous ?aurasi t'il decouvert une personne recherché

Alors je lui posa la question

-Pourquoi somme nous arreté s'il vous plait ? que se passe t-il ?

P : Kabrial
Kabrial présenta sa carte d'identité et son titre de transport qu'il sorta tout droit d'une besace en cuir noir. Il fixa le regard du militaire et ne baissa pas les yeux lorsque celui-ci le soutenait longuement. Comme pour lui montrer qu'ici ce n'est pas lui qui fait la loi, Kabrial prit une grande inspiration et gonfla le torse.
Le militaire lui demanda les motifs de son voyage mais Kabrial, pas du genre à se laisser intimidé feint l'indifférence. Il ne voulait pas gâcher sa salive pour ce gredin. Il pensa que ce n'était pas le moment pour faire des simulations militaires. Cependant, il resta suffisament calme pour ne pas invectiver le caporal.

La foule s'agita un moment autour de lui, il ne prêta aucune attention. Il se conforta dans l'idée d'un simulacre institutionnel militaire. Il pris une revue qui se trouvait rangé soigneusement devant lui. Il tourna sans conviction quelques pages. Il remit le fasicule en place. En relevant la tête, Karl constata une femme en train de scruter la nuit attentivement au travers de la vitre du wagon. Une drôle d'expression semblait se lire sur le visage de la femme. Etonné et intrigué, Karl tourna de concert sa tête pour pour porter son regard à l'horizon. Quel horizon ? Dans ce noir impénétrable, rien n'était plus distinguable. Cependant, au loin, une vive lueur se détachait du tableau obscur, Kabrial pensa à une voiture au plein phare, mais au fur et à mesure que la lumière approchait, celle-ci était instable, elle tanguait dans tous les sens. Il comprit que ce n'était pas une auto qui approchait vers eux. Il plissa donc les paupières pour mieux observer, mieux voir, mieux rendre compte de ce qui était indicible dans ce noir envhaissant.
D'un seul coup, un frisson traversa toute son échine, jusqu'à le faire redresser sur son siège.
Ses yeux s'écarquilla, il ne pouvait croire le spectacle qui s'offrait à lui... suis-je en train de rêver, pensa-t-il.

HP : idem que schultz

Jusque là, John était resté en retrait.
Il essayait de se détendre mais son Iphone ne cessait de sonner. Entre 2 sonneries, il coupa son portable, à contrecœur ... La secrétaire attendra, se disait-il....

« C’est le fantôme de Mr Champagne qui veut qu’on lui paye un coup à boire ! ! »

John se mit à allonger son buste pour essayer de voire au dessus des cièges et ainsi apercevoir ce qui se passait ....
On frappait. Sur le coup il n'eu pas compris, mais à la vue des 2 uniformes militaires, il compris immédiatement.
Son rideau était tiré, il ne voyait pas ce qui se passait à l'extérieur.

-Soldat : Bonjour, controle d'identité, j'aimerais voir votre carte d'identité ainsi que votre titre de transport.*

-John : Tenez ....

-Soldat : "Parfait, tout est en ordre.
Mais quels sont les motifs de votre voyage ? " (en disant ceci, il vit que John fronça les sourcils, cette question soulevait en lui des doutes).
"Pour votre sécurité Monsieur.

-John : Et bien je dois m'entretenir avec un entrepreneur Allemand pour mon travail".

Le caporal s'en alla ....

Le train était à présent à l'arrêt depuis plus de 20 minutes, et l'ambiance était lourde.
Vivement que ça se termine ! se disait-il en ouvrant son rideau, de telle sorte qu'il puisse voire ce qu'il se passait à l'extérieur ....

La nuit était déjà tombée depuis longtemps, et une brise caressait les arbres .... une lueur approche.
Que cela peut-il bien être ? se demanda-t-il en collant ses mains sur la vitre pour ne pas avoir le reflet des spots du wagon.

P : Schultz

Le militaire arrive à mon niveau. C'est celui qui n'a pas de grade. Il a l'air jeune. Enfin ; J'ai toujours été nul pour estimer les âges...

« Soldat : Bonjour, contrôle d'identité, j'aimerais voir votre carte d'identité ainsi que...

Moi : Les voila. Arrêter un train entre deux gares n'est-il pas... inhabituel, pour le plan vigipirate ?

Soldat : Quels sont les motifs de votre voyage ?

Moi : Pfff... (soupir) Je me rends à... (roulement des yeux) la convention Star Wars de Metz. J'espère qu'on ne sera pas trop en retard ? »

Le soldat prend un air étonné du genre "on va encore à des conventions SF à cet âge-là ?", que j'ignore poliment. C'était un mensonge, bien sûr ; j'avais remarqué une bande d'allumés arborant t-shirt yoda et autres sabre lasers en plastique rentrer dans notre train à la gare. Mais après tout je n'ai rien d'un terroriste, et ces gens-là n'ont pas à connaitre ma vie privée. Cette sonnerie de portable qui sonne sans cesse est horripilante, et à peine entend-on le "au revoir" de son propriétaire que le portable sonne à nouveau.

« Soldat : Nous allons faire le nécessaire pour que tout se passe le plus vite possible. Veuillez rester patient Monsieur. »

Évidemment, pas de réponse correcte. On lira la presse plus tard pour en savoir plus, je suppose. Je jette à nouveau un œil autour de moi. Ah, je n'entends plus la sonnerie de téléphone. Certains regardent dehors. C'est vrai qu'il fait froid, par cette saison, mais...

« Moi : Excusez-moi, puis-je aller dehors fumer une cigarette ? »

(Apercevant la femme de tout à l'heure regarder à travers la vitre)Tiens, elle en fait une tête, elle ? Il se passe quelque chose dehors ?

catherine s'etait assoupie pendant le voyage et n'avait meme pas senti le train s'arreter. C'est la voix gresillante du conducteur anonçant "un incident mineur" dans le haut-parleur qui la tira de son cauchemard. Son instinct de flic lui disait de se lever de son siege pour allez se renseigner en tete du train mais elle se ravisa. Elle était en vacances bon sang! Et de vrais vacances, pas des rtt posés au dernier moment parce qu'elle n'avait pas le choix pour finir a bosser ses dernieres affaires sous la couette! Elle resta donc a son siege et elle n'eut pas a attendre bien longtemps avant qu'il se passe quelque chose...

On tambourinait a la porte. Quelques secondes plus tard elle vit entrer deux militaires (beuark! pensa-t-elle) qui ne s'annoncerent pas (bien entendu) et commencerent a réclamer papier d'identité et titre de transport. Etonnant, se dit elle... ce n'est pourtant pas leur boulot. Elle se redressa un peu pour observer leur uniforme... Vigipirate. De plus en plus interressant. Elle commença à s'agiter sur son siege: il devenait de plus en plus difficile de ne pas se laisser aller au vielles habitudes. Elle detourna le regard pour s'interresser a ce qu'il se passait dehors... rien bien evidement. La nuit était tombée pendant son sommeil. Une nuit sans lune, meme les etoiles ne brillaient pas, sans doute cachées par les nuages epais qui avaient voilés le ciel toute cette semaine. Il faisait noir, elle avait du mal a distinguer ne serait-ce que quelques contours au dela de deux metres.

Elle entendais les deux officiers reclamer ses papiers a l'homme massif qui était assis a la rangée d'en face quand elle distingua au loins une lueur vacillante. Ca grossissait... non ca avançait! Sortant du neant, une lampe torche a la main, quelqu'un fonçait en courant a en perdre alaine vers le train...

HP: dsl pour le retard je ne pensais pas que ca avancerait si vite!

P : Schultz
Tout en gardant un oeil sur la femme qui regarde à l'extérieur, maintenant accompagnée dans sa scrutation par la masse de tout à l'heure, je me retourne vers le gradé, ma cigarette à la bouche. Il est visiblement surchargé par le contrôle des passager, en rajoutant ceux qui posent des questions tout aussi stupides que la mienne. Je compte un peu là dessus, j'avoue, pour qu'il cède à ma demande.

« Moi : Donc, si on ne veut pas de leurs saletés du wagon restau, on peut aller s'en griller une dehors ? »

P : Zevetiev


Zevetiev est promptement tiré d'un demi sommeil paisible par le brusque fracas de coups sur la porte du wagon SNCF. L'entrée des deux soldats ne le trouble pas outre mesure, habitué qu'il est maintenant de les avoir vu patrouiller dans les gares et lieux publics parisiens durant son court séjour. L'arrêt du train en dehors de toute gare lui laisse supposer une probable difficulté technique sans trop l'inquiéter. Comme les militaires se livrent à ce qui lui semble être un contrôle de pièces d'identité, Zevetiev extrait à leur approche passeport et billets de la poche intérieure d'une veste à la superbe coupe.


*-Soldat : Bonjour, contrôle d'identité, j'aimerais voir votre carte d'identité ainsi que votre titre de transport.*

Zevetiev devine bien plus qu'il ne comprend le propos du soldat, il tend sans un mot passeport et billet.

*-Soldat : Quels sont les motifs de votre voyage, Monsieur ?*

Zevetiev reconnait les termes voyages et Monsieur mais ne perçoit pour autant pas le sens de la question. C'est avec un accent américain prononcé qu'il invite son interlocuteur à faire usage de l'anglais.

Je ne parle pas Français très bien, pouvez vous demander in english, S'il Vous Plait ?

L'expression chagrine, le soldat lance un appel muet au second soldat. Ce dernier, ayant suivi l'échange, intervient avec un accent à couper au couteau.

*-Soldat : Please explain the reasons of your travel.

Zevetiev est quelque peu surpris par une telle demande faite dans un train stationné au milieu de nul part, mais n'en laisse toutefois
rien paraître.

It's for personnal convenience, a familly affair.

Le soldat semble s'accommoder de sa réponse. Alors que le
contrôle d'identité se poursuit, Zevetiev retrouve le questionnement intérieur qui ces derniers jours le taraude. Une soudaine agitation le tire de son hébétude...

P: Peet van Stunbaf-Jssel

-Naar de verdommenis! (bordel de m****!)

Même à cet instant, la jeune fille n'osa regarder Peet. Quelle poisse se disait-il. Peet n'avait pas de temps à perdre avec ces contrôles d'identités, il était plutôt pressé de rejoindre son frangin et ce petit arrêt l'incommodait franchement. Évidement les flics vigipirates vont lui chercher des noises, il faut dire que ces nombreuses années passées dans les geôles indonésiennes ont de quoi marquer un homme et ont voyait clairement que Peet n'avait pas le profil du gentil petit employé de bureau. Son teint basané, cette cicatrice qui lui barrait vulgairement la joue (un malheureux coup de couteau lors d'une rixe dans un troquet de Maraicaibo) inspirés la méfiance à quiconque le voyait de prés ou de loin et plus particulièrement la police. Il le savait pertinemment,c'est comme cette fille qui depuis qu'elle a malencontreusement due constater que sa réservation tombait en face de Peet, n'osa porter une seule fois unregard sur lui. Elle était tétanisée et faisait semblant de lire. Si seulement elle savait que lui même avait déjà fait travailler quelques filles pour lui, cette petite qui le snobait partirai en courant. Il en riait intérieurement. Mais ce n'est pas pour ces affaires qu'il était là

-*Soldat : Bonjour, controle d'identité, j'aimerais voir votre carte d'identité ainsi que votre titre de transport.*

Le flic s'adressait à cet espèce de petit freluquet que Peet remarqua dès qu'il pénétra dans le train. Son portable n'arrêta pas de sonner- il avait été à deux doigts de lui faire une remarque musclée quand le train s'arrêta brusquement. Et cette lesbienne là-bas qui regardait maintenant bêtement à travers la fenêtre, elle n'a pas l'air nette et ce regard qu'elle me lança en montant dans le train en disait long, sûrement flic ou militaire. En tout cas, ils ne m'ont pas encore remarqué et pourtant je suis voyant -c'est bien ma chance, se disait-il intérieurement - je vais pouvoir m'éclipser discrètement et sans faire de bruit.

Peet se leva lorsque les deux policiers étaient tout deux occupés à contrôler d'autres passagers. Ils lui tournaient le dos et ne l'avait pas vu s'éclipser aux toilettes. Il s'enferma à double tours. Il sortit
sa blague à tabac et enfourcha une bonne poignée dans sa bouche.

-Dat is gepiept! (voilà qui est fait!)

Il mastiqua longtemps son tabac - Red Man (le meilleur) - il se rinça ensuite le gosier avec une lampée de Rhum (il avait toujours une flasque sur lui) - quel festin. Il attendait que le train reparte, mais ça commençait à faire long.

-Stik de moord! (fait ch***!)

________________________________________

HP: dsl pour le retard ^^

P : Conteur

// Controle d'identité

Antoine-Pourquoi somme nous arreté s'il vous plait ? que se passe t-il ?

*-Soldat : Personne ne vous a arreté.. ah, vous voulez parler du train? Il y a eu un incident sur les voies, impliquant plusieurs personnes. La procédure veut que la circulation soit interrompue le temps de ... nettoyer. La situation est peu claire. On ne fait qu'appliquer le principe de précautions afin de prévenir tout risque d'attentat, le temps de clarifier cette histoire. Mais si voulez mon avis, c'Est une bande d'Hari-krishna qui en a eu marre de la vie. Ne vous en faite pas.*

Puis arriva le tour de Kabrial

Comme pour lui montrer qu'ici ce n'est pas lui qui fait la loi, Kabrial prit une grande inspiration et gonfla le torse.

Le soldat le regarda et se mit à sourire.

*-Soldat : Quels sont les motifs de votre voyage ?*
Pas de réponse. Kabrial ayant décidé d'ignorer le soldat, celui-ci lanca un regard à son camarade.
Le second soldat soupira et secoua sa tête.

*-Soldat 2 : Garde ses papiers et demande une vérification à la police ferroviaire avec le fichier. On a pas le temps de faire mumuse avec les "objecteurs de conscience".*

Le soldat1, Julien de son prénom, arrive enfin au niveau de Schultz.

« Soldat : Bonjour, contrôle d'identité, j'aimerais voir votre carte d'identité ainsi que...

Moi : Les voila. Arrêter un train entre deux gares n'est-il pas... inhabituel, pour le plan vigipirate ?

*-Julien: Non, vous n'y êtes pas. Le train a été arreté par la SNCF après des cas de suicides sur les voies. Je suis ici car le niveau d'alerte est élevé et qu'un TGV peut potentiellement faire l'objet d'un acte terroriste. On s'assure juste que tout est en ordre.*

Soldat : Quels sont les motifs de votre voyage ?

Moi : Pfff... (soupir) Je me rends à... (roulement des yeux) la convention Star Wars de Metz. J'espère qu'on ne sera pas trop en retard ? »

Le soldat regarda étrangement Mr Schultz. Etrangement parce que son billet de train indique un voyage Paris-Stuttgart. Il nota dans un coin de son esprit que cette personne est à considérer comme potentiellement dangereuse.

« Moi : Donc, si on ne veut pas de leurs saletés du wagon restau, on peut aller s'en griller une dehors ? »

*-Soldat : Oui oui, faite donc.*

Alors que tu te leves pour sortir, tu remarque que le soldat te suit et te fixe du regard. Il a bien l'intention de continuer l'interrogatoire dehors -sans avoir les autres passager sur le dos - et savoir pourquoi tu as menti sur ton voyage.

...


C'est alors que la radio du militaire graisilla un moment.

*-Voix: Put**, il y a un con qui coure vers le train, droit vers nous. Je fais quoi, ca sent pas bon.

*-Caporal : Et merde. Sommation verbale puis un coup de semonce. Si il ne s'arrete pas, vise les jambes.*

En disant cela, les deux soldats se sont regroupés à l'avant du wagon. L'un d'entre eux prit Schultz par le bras

*-soldat : Vous restez avec moi. On discutera de votre mensonge sur les raisons de votre voyage juste après.*

Les hommes ont maintenant le FAMAS au poing (et chargé).

Puis un éclair traversa le ciel suivi d'un bruit assourdissant. Un coup de feu - le coup de semonce.
Tout le monde - ou presque- est agglutiné au niveau des fenêtres pour suivre les évenements.

HP : Pour Catherine (et seulement elle) -> avec le coup de feu et l'éclair de lumière qu'il y a eu, tu as cru voir un groupe de personnes courir vers le train. A environ 200m de vous.

P:
La question est sur toute les lèvres : y aura t'il un autre coup de feu?
Non. Rien. Mais la radio se mit rapidement à des donner des info (vous n'entendez pas ou peu ce qui se dit, c'Est peu clair).

*-Voix (radio) : On vient de maitriser un gars. Il a un uniforme de la SNCF mais raconte n'importe quoi propros d'une aggression dont son poste de maintenance aurait été victime et de gens devenu fou. Il a l'air complètement terrifié.

*-Soldat (par radio) : Ok, préviens la base que l'on nous envoit une patrouille en renforts. ET des bus pour tranporter les civils vers la gare la plus porche*

Puis se tournant vers les passagers

*-soldat : Je vous demande à tous de garder votre calme.*

//A vous


HP : J'adore le coté européen du jeu

John était aux premières loges de la scène, puisque il avait ouvert ses rideaux. Quand le coup de feu flasha les environs, John eu une vision
d'horreur, il venait de voire un homme complètement dévêtu avec une petite loupiote qui courrait et hurlait dans notre direction.
"Ho mon dieu ! Il a l'air blessé !" pensais-je très fort. Apparemment, Karl avait entendu ce que je disais, il avait
la même expression de terreur sur son visage, il n'était pas le seul.
L'homme qui courait était maculé de sang, comme des jets sur sa poitrine. Mais je n'en suis pas sur ....
J'ai aussi cru apercevoir des flammes à l'horizon, que cela peut-t-il bien être !??! Ou suis-je tombé encore ?

Le silence était pesant, le talkie-walkie du militaire au bout du wagon
était le seul à se permettre de briser un si grand silence....

Les petits soucis du boulot avaient complètement disparu. Je me sentais comme une bête en cage, j'aurais aimé comprendre ce qui se passait à l'extérieur.

Je voulu aller voire les 2 militaires pour proposer
mon aide, mais les gens bouchaient l'allée centrale, impossible de
passer. D'autant plus qu'un gorille avec une grande cicatrice en était le principale responsable. Je dû me ré-assoir.

P: Peet van Stunbaf-Jssel

-Alle donders, wat is dat ? Het moet echt! (Bon sang, c'était quoi ça? ca semblait réel)

Tout en reprenant une gorgée de son breuvage auquel il avait au préalable rajouté un peu de canne à sucre, Peet se mit à réfléchir sur l'origine de cette détonation. Ce n'est pas la première fois qu'il entendit ce genre de bruit - Ce n’était assurément pas un pétard - quelqu'un à apparemment actionner une arme à feu. Surement encore un de ces amateurs de flics qui a tiré sur sa propre ombre... tous des nuls.

-Om wanhopig van te worden! (c'est vraiment à en désespérer !) se dit-il pour lui-même en ricanant

En tout cas ca ne sent pas bon toute cette histoire - Ces monsieur de la police s'en sont peut-être en allé maintenant, le coup de feu les aura attirés vers l'extérieur. Un coup d'œil par la petite lucarne surplombant la fenêtre sans-tain donnant sur l'extérieur, confirma ses pensées. La voie est libre. Un coup d'oeil dans le wagon, lui assura également qu'il n'y avait plus de policiers par là. C'est étrange, tout le monde est agglutinés aux fenêtres

plusieur personne avaient remarquées l'attention particuliere avec laquelle catherine scrutait l'horrizon. L'homme qui avait l'air d'une grosse brute assis pres d'elle regardait par la fenetre a son tour et le caporal qui le questionnait, intrigué en fit de meme. A cet instant sa radio se mit a gresiller puis on entendi la voix de son officier qui avait accompagné un passager a l'exterieur du waggon:

-Voix: Put**, il y a un con qui coure vers le train, droit vers nous. Je fais quoi, ca sent pas bon.

Il decrocha nerveusement la radio de sa ceinture et dit:


-Caporal : Et merde. Sommation verbale puis un coup de semonce. Si il ne s'arrete pas, vise les jambes!

Puis il se dirigea d'un pas vif vers la porte pour le rejoindre. Catherine ne pouvait pas voir ce qui se passait de son siege et elle reporta son attention sur l'homme qui courait vers le train. Elle entendit l'officier crier au passager si pressé de fumer sa clope quelques instant auparavant de se mettre en arriere. Puis tout se passa tres vite: un coup de feu fut tiré, un eclair de lumiere zebra le ciel et eclaira une fraction de seconde le paysage. Fraction de seconde qui lui suffit a distinguer a 200 metres environ un groupe d'une trentaine de personnes se diriger a vive allure a la suite de l'homme a la lampe torche!

s'en était trop pour elle, d'un bon elle se leva sortie sa carte de police et en quelques enjambées rejoint les deux militaires a l'avant du waggon.

- Bonjour Caporal, comissaire Delplace qu'est ce qui se passe ici bon sang?

il se retourna vers elle et emis un petit gloussement qui ne manqua pas de l'exasperer mais elle prit bien soin de l'ignorer et planta son regard froid dans les sien.

- On a pas d'info pour l'instant...

la radio se mit a nouveau a gresiller:

- Voix : On vient de maitriser un gars. Il a un uniforme de la SNCF mais raconte n'importe quoi propros d'une aggression dans son poste de maintenance aurait été victime et de gens devenu fou. Il a l'air complètement terrifié.

Catherine regarda le soldat en levant un sourcil, mais n'eut pas le temps de dire quoi que ce soit qu'il repondait deja:

-Soldat : Ok, préviens la base que l'on nous envoit une patrouille en renforts. ET des bus pour tranporter les civils vers la gare la plus porche...

Agacée Catherine lui dit:

- pas d'info hein?

Il la doubla sans faire attention a elle et s'adressa aux passagers:

- Je vous demande à tous de garder votre calme...

Bien entendu un brouhaha s'eleva rapidement et tandis que tout le monde s'agitait pour attraper ses affaires personnelles catherine oublia de parler de la foule qui se pressait vers eux...

P : Kabrial
Karl n'était pas bien sûr mais c'était bien une personne qui courait en direction du train, du moins sa silouhette grandissante au fur et à mesure de son approche confirma son impression. Son sang s'était glacé lorsqu'il cru apercevoir derrière cette silouhette quelque chose d'anormal. Il avait du halluciné, mais il avait juré cru apercevoir une sorte de nuage d'ombres épaisses en mouvance. Il tourna la tête en direction de l'allée. Avec cet événement, Karl oublia tout à fait que l'un des soldats avait gardé ses papiers. L'homme au visage disparate et l'un des soldats était en conversation en retrait. La radio grésillante s'immisça dans ce silence cotonneux et pesant de l'habitacle de la voiture ferroviaire. Quelques secondes plus tard, un coup puissant et net rompa de surcroît ce grésillement hertzien. Il provenait de l'extérieur. D'un réflexe propre à l'humain, l'instinct de Karl pris le dessus, ce dernier se retourna sans effort en direction de l'origine du bruit. Les autres passagers s'était agglutinés à ses côtés. Un homme dans l'assistance s'écria :
- Ho mon dieu ! Il a l'air blessé !

Le talkie-wakie du soldat cracha un message vocal, les passagers commencaient à s'agiter verbalement, Karl ne perçu que des bribes sémantiques :
*-Voix (radio) : ...maitriser un gars...raconte n'importe quoi... aggression...aurait été victime...gens devenu fou...complètement terrifié... renforts...*
Le soldat se tourna vers les passagers :
*-soldat : Je vous demande à tous de garder votre calme.*

Kabrial ricana intérieurement, comment pouvait-on garder son calme dans une drôle de situation où aucune information n'était claire et des faits étranges se tramaient à l'extérieur ? Il se leva, bouscula des passagers. Entre temps, sa voisine de siège l'avait devancé, elle était visiblement partie rejoindre le soldat encore présent. Ces larges épaules se déployèrent lorsqu'il se mis debout. Prêt à aller recueillir des explications auprès du militaire qui venait de parler, il vit un homme en provenance des toilettes.

P : Schultz
A l'avant du Wagon...
Évidemment, la poisse ! Le salaud serre mon bras comme étau. Pendant qu'il me traine jusqu'à l'avant du wagon, je tente de me défaire de son étreinte. Il serre encore plus fort en me balançant en face de lui pour me faire avancer.

« Moi : C'est bon, j'vais pas m'barrer, oh !
Troufion (soldat sans grade) : »
HP : à toi de voir comment il me répond Caius

La femme de tout à l'heure nous a suivi jusqu'à l'avant de la voiture. Décidément pas mal. Apparemment une fliquette, à ce qu'elle dit. Ça doit être bien d'avoir une plaque de flic. En attendant moi, j'suis dans la...

« Voix (radio) : On vient de maitriser un gars. Il a un uniforme de la SNCF mais raconte n'importe quoi propos d'une agression dont son poste de maintenance aurait été victime et de gens devenu fou. Il a l'air complètement terrifié.
-Soldat (par radio) : Ok, préviens la base que l'on nous envoie une patrouille en renforts. ET des bus pour transporter les civils vers la gare la plus proche »

Euh... ? C'est quoi c'bordel ?

« Catherine : pas d'infos, hein ? »

Allons bon... Qu'est ce qui s'passe... Je vais arriver à pas d'heure, c'est sûr, et ça m'emmerde. Il va falloir expliquer à ces gorilles que j'ai menti uniquement parce que je ne les aime pas ; ça va être coton. Tant pis pour Ada. J'irais la voir un autre jour.

« Moi : S'il vous plait, messieurs, je pense que vous avez autre chose à faire, là tout de suite, que de vous occuper d'un marginal, aussi antimilitariste soit-il.
Troufion (soldat sans grade) : (manifestement refus ou dédain je suppose)
Moi : Bordel, ne soyez pas... Enfin.. comprenez ! Commissaire, ouarf, ça fait drôle d'appeler une femme "commissaire". Comme quoi ça existe pas que dans plus belle la vie. Je n'ai rien à voir là dedans, aidez-moi à les convaincre ! »

P: Cachou

J'entendis ce que dit le soldat a un autres voyageur

(pensée)J'y crois pas , ras le bol des suicides ... il peuvent pas se pendre chez eux , sans nous emmerder ...

- et merde j'ai envie de fumer , bon allons y ...

ayant vue sur la porte où le barbu parti fumer , je commençais a me diriger vers la sortie , quand le soldats empoigna le barbu et le projeta vers l'avant du wagon ... a ce moment un bruit assourdissant résonna , des gens baissèrent la tête rapidement , certain guettere par la fenêtre .

je repris mes esprit et écouta attentivement , j'entendis une radio grésilla mais comprenais qu'un mots sur deux

une femme ce mit a criée qu'il était blessé , mais c'est qui IL ? je me mit a une fenêtre pour voir cette scène a moitié macabre , avec un corps gisant mort ou vif en plein milieu des rail et les soldats autour de lui

Je commençais a paniquer , me retourna et compris que il y avais une couille dans le potage , je m'avançais rapidement vers le soldat avançant vers la sortie et l'entendis dire :

-Soldat : Ok, préviens la base que l'on nous envois une patrouille en renforts. ET des bus pour transporter les civils vers la gare la plus porche...

et continua sur :
-soldat : Je vous demande à tous de garder votre calme.



Des renforts ?? Sa sent pas bon ... et gardé notre calme en plus ...

je décidais donc de me dirigeait vers la sortie et aller voir de plus prés ce qui se passais dans ce foutu train

P : Zevetiev


Confusément, Zevetiev comprend que l'agitation générale résulte d'un incident à l'extérieur du wagon. Les militaires en ont visiblement après un frêle barbu auquel Zevetiev prête de suite une étiquette de provocateur et d'agitateur.

Le crépitement des radios précède ce qui semble être un appel au calme.


*-Soldat : Je vous demande à tous de garder votre calme.*


Zevetiev, au vu des événements, se résigne à la morne perspective d'un retard considérable. Dans l'optique de faire face plus aisément aux longues heures d'attente à venir, il entreprend de se frayer un chemin dans le couloir afin de se rafraîchir dans les toilettes. C'est aussi pour lui un moyen potentiel de prendre une mesure plus précise de la situation, notamment concernant les troubles dans le voisinage immédiat du wagon.