Panique sur la ville - Première mission

HP @ Tein: pourrais-tu préciser le nombre de militaire qu'on peut voir tant à l'extérieur qu'a l'intérieur du wagon. Il y avait deux militaires au début, sont-ils toujours encore dans le wagon ? Est que les portes du wagon sont restées ouvertes ou ont-elles étaient vérouillees après l'entrée des militaires ?

HP Teincher

Il y a toujours les deux militaires, mais à l'avant de votre wagon (donc personne vers l'arrière). Avec Schultz notament.
A l'extérieur personne, à part les sprinters nocturnes.
Vous ne savez pas combien de militaire au total sont dans le train. Il y en aurait au minimum deux autres dans la partie plus en arrière du train.

Pour les portes, vous n'avez aucun moyen de le savoir pour ce qui concerne l'ensemble du train. sur votre wagon, seule la porte avant a été ouverte (vous n'avez pas entendu la porte arrière s'ouvrir).

P: Peet van Stunbaf-Jssel

De loin, Peet put observer comment un des militaire plaqua un individu contre la paroi du wagon - en voilà un de calmé se dit-il d'un air amusé...et l'autre lesbienne de service qui apparemment appartenait aux fiers défenseurs de l'ordre ne put s'empêcher de sortir son insigne pour jouer au cador. Incapable d'agir de sa propre initiative, toujours un bouclier ou un paravent pour justifier sa conduite - commissaire qu'elle disait. Mon Dieu, épargne nous cela ! Mais pourquoi donc, les gens étaient agglutinés aux fenêtres. Il s'approcha promptement d'une fenêtre et bouscula légèrement un petit vieux qui avait l'air absorbé par ses pensées. Il était littéralement penché sur lui et regardait par sa fenêtre - il allait protester. Peet le devança:

- Stik! (m****)

HP: à toi de voir Zevetiev pour la réponse

Peet observa ce qui se passait aux alentours du train. Il faisait sombre, et on ne voyait pas bien loin - pourtant il distinguait clairement un groupe d'individus en approche. Ils semblaient courir comme des dératés et se précipitaient à toute allure vers le train. Ils n'avaient pas l'air commode en tout cas. Voilà qu'ils se divisent et courent désormais en direction des portes...

Wat vreemd! (comme c'est étrange) dit-il pour lui-même

Une sueur froide lui coula dans le dos - ce n'est pas normal. Peut-être qu'il avait bu un coup de trop, pourtant il avait l'habitude de la gnôle, il ne pouvait en croire de ses yeux. Les gens qui couraient vers le train n'avaient pas l'air...humain. Peet en avait vu des choses à travers le monde. Par le passé, il se remémora avoir abordé des îles perdues de l'océan pacifique - de drôle de peuplade les habités. Ils pratiquaient une sorte de rituel païen, Peet vit même une fois de ses propres yeux comment toute une tribu (en fait surtout de vieilles mégères acariâtre et sanguinaire) avait dépecée un jeune homme en pleine santé - c'était vraiment effrayant. La tribu en question avec qui Peet commerçait de son temps jeta l'ensemble de la viande ainsi récoltée sur un immense barbecue. vision de l'enfer. Mais là, ces types qui couraient, avaient le visage déformés et ils déglutinaient de bave. Il ne faudrait pas qu'ils pénètrent dans le train. Un courant d'air froid lui glaça le sang, la porte de devant était ouverte, il avait du flair pour ça. D'un coup, il bondit en direction de la coursive et se précipita vers la porte de devant.

-Shut the door !!! se mit-il a crier en anglais

J'étais attentif à tout ce qui se passait, je m'imprégnait de la situation. J'étais pensif... Je n'avais jamais vu de telle situation auparavant. Même les simulations commandos étaient moins stressantes.

Je regarda a nouveau par la fenêtre, et vis cette fois des dizaines d'ombres s'en approcher de part et autres ! Je s'efforça de me concentrer sur l'obscurité.

ARRG ! criais-je !! Une énorme bestiole vient de se jeter sur ma vitre !! Surpris, tout les passagers se retournèrent vers moi d'un air dément. Heii...nn.....
Mon dernier mot fut : courr.......zz.......

Le silence fit son apparition, je me sentais en transe, mes yeux étaient fermés, je me déconnectais de la réalité ....

Un instant plus tard me voilà mi allongé-mi par terre sur mon siège. J'avais très chaud, je transpirais énormément et ne comprenais pas ce qui se passait. Certains passagers me regardaient :
Quoi ?! Leur dis-je étonné ?

Je vis des sourcils se froncer ... Je regarda la vitre et me souviens alors ! Je venais d'halluciner !
Je ne me sens pas bien murmurais-je à une personne près de moi.

Les gens du wagon paraissaient perplexes, mais peu ont fait attention à moi. On pu entendre des chuchotements, il est fou, il est cinglé .... Je l'ai vu prendre des cachets tout à l'heure, des excitants !
Ce doit être ça, les passagers semblaient s'en accommoder ....

Ce n'est pas le moment de flancher pensais-je !! Tiens le coup !!!!!
Je me releva, et toutes les autres personnes avaient déjà retrouvés leurs occupations. Je me força à oublier cet incidents en espérant que ces gens au dehors étaient du fruit de mon imagination ... ainsi que ces flammes, ce sang
....
Je stop les cachets, tan pis pour les clients allemands ! Je ne suis pas un sur-homme

Peu après, les militaires plaquèrent un homme contre le mur, tout était flou dans me tête ... Je ne différenciais plus le passé du présent

Shut the door !!! !!! Une fraction de seconde plus tard, j'étais à nouveau opérationnel et sur le qui-vive !

P : Kabrial
L'homme qu'il vit provenant des toilettes, bouscula un vieillard. Ils se regardèrent en chien de faïence. A son habitude, Karl était à l'habitude plutôt vif, mais cette drôle d'impression qu'il avait eu en regardant par la fenêtre le rendait plutôt attentif à l'atmosphère environnante.

-Caporal : est-ce qu'il y a un docteur ici ?

En tournant la tête de l'autre côté pour visualiser d'où venait la question, Karl jetta un coup d'oeil curieux. Il vit l'homme au visage disparate. Il était maintenant attaché avec des menottes. Qu'est-ce qui se passe ? pensa-t-il. Il se croyait dans un rêve. Mais bien décidé à en sortir, il retroussa ses manches, et alla en direction de l'homme menotté, la femme visiblement flic (elle tenait une insigne) et le soldat, bien décidé à en savoir davantage de ce qui lui semblait être une mascarade. Il y avait autre chose, Karl sentit maintenant comme quelques autres passagers qu'on leur cachait quelque chose d'important. Un type dont les gouttes de sueur perlé sur son front émit quelque chose que Karl n'entendit pas mais dont l'allure en disait long.

- Ce n'est pas bon signe, certains passagers deviennent cinglés, dit-il.

C'était la première fois que certains passagers purent entendre le son de sa voix depuis le départ du train. Elle était moitié grave, moitié tonitruante. À l'image du grand gaillard. Se dirigeant maintenant vers le groupe d'un pas lourd qui resonnait sourdement dans tout le sol, il sentit la présence de quelqu'un derrière lui.

-Shut the door !!!

Il ne comprit pas très bien ce que l'homme avait dit, Karl était vraiment très mauvais en langue étrangère mais peu importe. L'intensité dans la voix et la tension était devenu si intense dans le wagon que Karl, pris dans ce mouvement de panique qui commencait à s'immiscer en tout le monde, accélera le pas à la même mesure que la personne derrière lui. Il se sentait mal à l'aise dans cet intérieur climatisé. Il préférait voir de lui même, dehors, pour mieux apprécier la situation. Tout en se dirigeant vers l'extrémité du wagon, Kabrial, d'un ton alarmiste, cria :

- Eloignez-vous des fenêtres !!

HP : bon j'ai un peu de mal , j'ose pas faire une supposition comme Kabrial enfin bref j'arrive pas encore a bien manié , donc désolé si c'est pas de superbe texte ...

Edit HP : il se fait tard , je suis clacké

j'ai lu vos messages et j'avais pas vue que j'avais interféré dans l'histoire ... je vais donc essayer de pondre un truc potable , mais mon imagination me joue des tours

HP : Teincher

Je vous donnerais la suite demain. J'attends que les autres répondent, surtout missb.

@cachou : en effet, les actions d'importance (assaut réussi ou non des zonzons) sont de mon ressort. Par exemple dans le cas présent, c'est moi qui décide si une porte est ouverte ou non, notamment dans vos wagons voisins.
Pourquoi?
Parce que si un joueur n'est pas en accord avec ta vision des choses, il pourra poster un message changeant l'orientation de l'action (ex: les passagers se battent contre les zonzons et arrivent à tous les tuer) et ainsi de suite. La mission deviendra rapidement injouable. C'est pour cela qu'une seule personne doit décider de ces actions vitales. En l'occurence, moi.
Concrétement, tu n'es responsable que des actions de ton perso (déplacement, actions...) et des objets de ton entourage (donné à l'avance par le conteur).

@ tous : Je conçois que la mission peut être difficile à comprendre pour vous tous (pas assez libre pour les habitués du RP ou trop libre pour ceux qui sont novices).
J'ai volontairement fait une semaine dirigiste pour montrer les principes du jeu (interaction joueur, paramètres envoyés par le conteur....), tout en respectant l'originalité de vos perso. La semaine suivante (à partir de mercredi, si je ne n'ai pas de retard) sera plus libre pour vous tous.

Globalement, je trouve qu'on s'en sort tous bien

HP : oui, y'a pas trop de grosse chiure ^^
[edit:] ne pas oublier le "HP :" ^^

P : Danny Schultz
Le bidasse m'envoie valser contre le mur comme si je ne pesais rien. Qu'est ce qu'on leur fait soulever à l'entrainement, des caisses de parpaings ? Il me fait une clé. AIE LE CON IL...
« Moi : AIE ; putain faites gaffe ! »
Il ne prend même pas la peine de me répondre pendant qu'il me fouille sommairement. Il s'attarde sur la flasque de ma poche intérieure, et devine qu'il ne s'agit certainement pas d'une arme(ou alors à très long terme). Putain, je rêve ; il m'a touché les cou*lles... Hm... Remarque, c'est souvent là qu'on planque ce qu'on a à passer. Tiens, ça me rappelle ma jeunesse, quand on ramenait de l'herbe d'Espagne ; même si à ce moment là on n'en était plus à cacher notre weed dans le pantalon.
Il me passe les menottes. Ça, ça rappelle aucun souvenir. Il relie l'autre anneau de métal à une barre d'appui à coté de la porte. J'ai pas l'air con. Ça doit être un beau b*rdel dehors, car presque personne ne me regarde me faire interpeler comme ce serait le cas habituellement. Ils sont tous collés aux vitres. Il y a eu un coup de feu apparemment. Pas entendu, en tout cas. Ça devait être quand j'me suis fait secouer par le bidasse.
Tiens, la radio fait signe à nouveau... des renforts d'ici 10 minutes, à ce que j'ai entendu. Si j'ai bien compris le mot "suicide" tout à l'heure, il faut croire que ces militaires ne savent pas quoi faire pour dépenser leur budget ; ils font un max d'interventions inutiles qui servent d'entrainement. Le gradé me sort de mes pensées :
« Caporal : est-ce qu'il y a un DOCTEUR ici ? »
Pas moi en tout cas. J'comprends plus trop ce qui se passe là. De là ou je suis, les fenêtres ne sont pas super accessibles. Certains passagers ont l'air horrifiés. L'un d'entre eux s'écroule entre les rang en criant :
« John : ARRG ! Une énorme bestiole vient de se jeter sur ma vitre !! »
'Jamais vu ça depuis l'HP où j'avais dû rendre visite à une amie. C'est dingue. tiens, la brutasse est arrivée à notre niveau. Il est tourné vers le mec qui vient de se casser la gueule.
« Karl : Ce n'est pas bon signe, certains passagers deviennent cinglés »
Il a le dos tourné, mais il parle manifestement pour nous, su sa stature.
« Peet : Shut the door !!!»
... C'est qui ce mec ? Il fait... peur, presque, et le ton sur lequel il a demandé à fermer la porte est plutôt inquiétant... J"aime pas ça...


HP : texte écrit à 2h du mat' dans un état alcoolisé, je viens virer les fautes et les bourdes ^^. @ Cachou, kab' a raison : ça ne veut pas dire que tu ne peux pas regarder dehors si rien n'a été signalé là bas, mais plutôt comme moi au début : J'ai regardé par la vitre du wagon, PUIS teincher m'a décrit ce que j'avais réussi à voir. Les deux bidasses tentant d'ouvrir la porte, notamment.
Sinon effectivement on se débrouille plutôt pas mal. C'est un peu dirigiste mais quand même énorme, perso j'ai toujours hâte de savoir la suite. Les personnages sont super ^^. Toi aussi tein t'inquiètes ^^
Dernier truc, j'ai essayé de me censurer moi aussi, mais je crois que je suis vraiment trop grossier pour ça xD

P : Zevetiev


Quelque chose d'anormal se passe. Zevetiev n'a qu'une vague idée de la teneur des échanges mais ressent la tension et l'intensité soudaine qui s'emparent des voyageurs.

-Caporal : est-ce qu'il y a un docteur ici ?

Zevetiev devine que le militaire en appel à l'intervention d'un médecin, probablement en rapport avec les évènements récents. Cela ne présage rien de bon, plongeant Zevetiev dans une certaine perplexité à mesure qu'il s'avance dans le couloir. Il est soudain bousculé par un molosse dont les traits laissent entrevoir les origines asiatiques.

- Peet: Stik! (m****)

- Zevetiev, surpris: What the ... Sorry, sir.

Le gaillard ne lui prête guère attention et concentre cette dernière sur la fenêtre dans son immédiate proximité. Zevetiev, auquel cet incident à rendu ces esprits, prend conscience qu'une masse d'individus agités foncent sans retenue en direction de leur wagon.

- Peet: Shut the door !!!

Zevetiev, pressentant un danger, interpelle le caporal.

- Zevetiev : Soldier, did you take notice that there's a group of people running to us in what it seem to be a riot ? I urge you to quickly close this wagon's door, please.

Zevetiev, maintenant fébrile, abandonne le militaire à ses occupations et s'adresse aussitôt au molosse dans l'espoir de comprendre la situation.

- Zevetiev : Sir, what's happen ? Who are them ?

P : conteur



L’alerte fut donnée ! En anglais.

Un passager aura finalement vu ce qui arrive tout droit sur le train. Et alerta tout le monde.

-Shut the door !!! se mit-il a crier en anglais



Les réactions fût diverses. Les fanatiques de SW commencent à penser que tout cela est organisé par Lucas art ® et que des les ombres approchants sont des hommes des sables.

Natacha par contre commence à être apeurée et se lève pour aller au niveau du couloir.

Un autre passager est en plein délire, il croit voir des choses. En fait, il présenterait même des signes caractéristiques de la schyzophrénie narcoleptique, si tant est qu’un œil médical se pose sur lui.



D’autres passagers par contre commencent, avec réalisme, à appréhender la situation. La personne ayant donné l’alerte attire l’attention du soldat vers l’extérieur, et celui de Schultz aussi, qui se trouve au niveau de la porte (attaché à la rembarde). Une personne d’une certaine classe interpelle le caporal en anglais.



- Zevetiev : Soldier, did you take notice that there's a group of people running to us in what it seem to be a riot ? I urge you to quickly close this wagon's door, please.

-Caporal : Hein ? Quoi? (dit il en se rapprochant de la porte.)



Schultz vit, ce qui peut ressembler à un humain baveux entrain de courir avec des gestes disgracieux. Vu qu’il a été attaché à cet endroit pas le soldat, lui seul accéder au panneau de commande de la porte (hp : ou alors il faut « déplacer » Schultz pour faire place nette :d)



Le soldat voit également la scène et descend du train.



Schultz est aux premières loges, mais aussi Karl, le caporal et le commissaire. Les autres ont la vue bouchée par leurs camarades.



Le soldat dehors hurla alors :



-Soldat : On ne bouge plus, plan vigipirate.



En prononçant ces paroles, le soldat arme et vise le groupe qui vient vers lui (30mètres).

Le caporal assitant à la scène lui cria :



-Caporal : Ouvre le feu c’est un ordre



-Soldat (parlant dans sa barbe) : Bord*l



Et il tira, un coup en l’air (15m) puis (10m) se décida à viser les individus (au nombre de 4).



Le petit groupe de fous fut neutralisé. Le soldat était bon tireur, avec 7 balles, il neutralisa les 4 suspects, mais la plupart sont encore en vie et gesticule nerveusement sur le sol.



-Caporal : Bien joué, je te couvrirais pour le rapport, t’avais pas le choix, va voir si ils n’ont pas d’armes. Je préviens la base.



Le soldat alla donc se diriger vers les humanoïdes blessés pour s’assurer que le danger est écarté.



C’est alors que d’autres coups de feu se fire entendre, vers l’arrière du train. Plusieurs coups de feu, en fait une trentaine (le contenu du chargeur). Les derniers se font comme étouffé ou raisonnant, comme si ils avaient été tirés depuis l’intérieur du train.
Pour les connaisseurs, ils sembleraient qu’il s’agisse d’un FAMAS (sûrement Hicham !).



Schultz, de par sa position de « privilégié », peut voir un autre groupe d’assaillants longer le train (venant de la queue du train, pour remonter vers vous). Etant donné qu’il court contre la paroi du train, ceux à l’intérieur sont dans l’impossibilité (ou alors cela est très dur pour eux) de les voir.



Le caporal est accroché à sa radio, entrain de demander des renforts… d’après ce que Peet, Kabrial et le commissaire (hp, apparement, le féminin n’existe pas pour ce mot) peuvent entendre (la réponse de la base), d’autres incidents similaires se sont manifestés ailleurs autour de la gare.



Karl, se retourna subrepticement vers l’arrière du train, et remarque que Natacha, elle qui avait l’air si appeurée juste avant, a disparu.



// A vous



HP : Dans le cas où je n'aurais pas été clair, Schultz, tu as la possibilité matérielle de fermer la porte.

Décidement le caporal avait décidé de l'ignorer, mais Catherine ne l'entendait pas de cette oreille. Elle esquissa un pas en sa direction, mais elle n'eut pas le temps de le rejoindre qu'il se tourna vers elle et dit sans grande conviction:

Caporal : - Commissaire... pour être franc, les RG ont émis une alerte rouge sur les TGV. La menace viendrait d'islamistes lié à Al Quaida. C'est pour ça qu'on est sur le qui vive.
Vous avez plus d'expérience que nous avec les civils. Tachez de les calmer.

Les relations humaines n'etaient pas vraiment son fort en ce moment, mais sentant la gravité de la situation... :

Catherine : - Bon ok je vais faire de mon mieux, mais...

Caporal : - Au fait, avez vous votre arme de service sur vous? Parce que ca pourrait être utile.

Biensur qu'elle l'avait! Catherine ne s'en separait que si elle y était obligée. Mais elle n'eut pas le temps de lui en faire part car le grand escogriffe aviné desormais menoté a une barre de metal pres de la porte pris la parole:

schultz : - S'il vous plait, messieurs, je pense que vous avez autre chose à faire, là tout de suite, que de vous occuper d'un marginal, aussi antimilitariste soit-il.

Bien, c'est ca, enfonces toi... pensa-t-elle. Trop soul pour rester tranquile, trop sobre pour pioncer et nous fichez la paix... le soldat qui l'avait immobilisé detacha son attention de ma conversation avec son superieur un instant pour lui repondre:

soldat : - A votre place, mÔnsieur, je me tiendrais tranquille. Ne nous obligez pas à prendre d'autres mesures correcitives à votre encontre.

Mais plutot que d'ecouter ce conseil avisé, l'homme entravé s'adressa a moi pour la premiere fois:

schultz : - Bordel, ne soyez pas... Enfin.. comprenez ! Commissaire, je n'ai rien à voir là dedans, aidez-moi à les convaincre !

Manque pas de culot celui la! se dit elle. Elle aurait bien pris plaisir à l'envoyer balader mais la radio se mit a nouveau à gresiller:

-Voix : Caporal? ici Hicham, on a contacté le régiment et on va avoir des renforts d'ici 10 minutes. Par contre, le gars de la SNCF n'a pas l'air très bien, est-ce qu'il y a un médecin dans votre wagon? je n'ai pas pu en trouver un ici.

Le Caporal prit une voix forte pour tenter de couvrir le brouhaha ambiant et demanda:

-Caporal : est-ce qu'il y a un docteur ici ?

Personne ne se manifesta, tout les passager trop pris par leur propres angoisses n'ecoutaient que d'une oreille les propos des deux hommes armés qui tentait tant bien que mal de maintenir l'ordre dans le waggon. En effet un homme delirant criait que quelque chose avait sauté sur sa fenetre et plusieurs passagers étaient visiblement captivés par ce qu'il se passait dehors...

C'est alors que quelqu'un se manifesta, couvrant les voix des passagers inquiets, un homme bien abimé portant une importante cicatrice sur la joue s'ecria:

peet: -Shut the door !!!

Desormais tout le monde regardait par les fenetres. Et soudain la memoire reveint a Catherine, elle se souveint soudain du groupe de personnes courrant a en perdre alaine qu'elle avait appercu quelques instant au paravant. Un sentiment d'effroi la traversa un instant. Elle croyait de moins en moins a une attaque terroriste... Soit on ne lui avait pas tout dit, soit le gradé avec qui elle s'etait entretenue n'en savait pas plus qu'elle a propos ce qu'il se passait.

Puis tout se deroula tres vite un vieil homme s'adressa en anglais au caporal qui avança dans sa direction pour mieux l'entendre. Catherine ne pouvait entendre leur conversation, ils etaient maintenant trop loin d'elle et l'agitation des passagers en proie a la panique ne facilitait pas les choses...

Elle se rapprocha alors de la porte a laquelle "l'antimilitariste" était toujours menoté. Pres de lui, toujours le soldat arme au poing qui appercu (enfin) le groupe qui se dirigeait a vive allure vers le train.

soldat : - on ne bouge plus, plan vigipirate!

le caporal allarmé cria a son tour:

Caporal : - ouvre le feux c'est un ordre!

Le soldat tira un coup en l'air, mais ne voyant pas de reactions de leur part ouvrit le feux sur les 4 individus qui furent en quelques balles, stoppés dans leur course, neutralisés. Il souffla un bon coup et le gradé le felicita:

Caporal : - Bien joué, je te couvrirais pour le rapport, t'avais pas le choix, va voir si ils n'ont pas d'armes. Je previens la base.

Il obeit promptement a l'ordre de son superieur et se dirigea d'un pas peu assuré vers les etres inertes ou gesticulants a terre.

C'est alors qu'on put entendre une rafale de tir au FAMAS provenant du fond du train...

HP: je sais, c'est tres mediocre et probablement bourré d'incoherences, je suis naze de chez nze et comme j'avais promis de poster un truc ce soir j'ai rattrappé comme j'ai pu avant de dodo mais j'ai quand meme les yeux qui se croisent...

ayant pris un sacré retard, je ne pouvait pas trop broder je me suis donc contenté de resumer du point de vue de Catherine en attendant la reponse de Schultz...

HP : Nan nan c'est nickel missb ^^ c'est moi qui ai chié en ayant pas pensé à fermer cette foutue porte plus tôt lol
au fait j'arrête de me censurer tant pis xD après tout hordes.fr est déjà interdit en dessous d'un certain âge il me semble.
P : Schultz
Une sorte de mec difforme vient de passer sur le coté du train. De là où je suis je l'ai vu mais je dois être un des seuls. Je suis largué. Si je m'en sors, en tout cas, j'pourrais sortir un livre que je vendrais par millions, c'est sûr. J'ai un panorama unique sur l'extérieur. Le troufion de dehors a pas l'air rassuré. Quatre mec bizarres s'approchent de lui.
« Caporal : Ouvre le feu, c’est un ordre. »
Nan, carrément. Ça rigole plus. Le FAMAS-II reglé en mode semi-automatique, le bidasse de dehors aligne les quatre mec en moins de temps qu'il ne le faut pour le penser. Dans l'ordre, de droite à gauche :deux balles dans la tête du premier, un coup dans la poitrine du second, une balle perdue entre ce dernier et le 3ème, qui prend une balle dans le buffet et une autre dans la tête. Le dernier est arrêté net par un tir au niveau de la poitrine et tombe en arrière.
Nan, ça rigole plus là.
« Caporal : Bien joué, je te couvrirais pour le rapport, t'avais pas le choix, va voir si ils n'ont pas d'armes. Je previens la base. »
Le soldat avance vers eux pour vérifier que tout est reglé, car certains bougent encore. J'avance la tête pour voir un peu mieux ; mes lunettes sont un peu trop vieilles, il faudrait que j'en change. Quelque chose attire tout à coup mon attention sur ma gauche : deux, non, trois, non cinq, merde, je sais pas combien y'en a, mais y'a une autre bande de tarés qui compte contourner le bidasse pour venir nous saluer.
Je me tourne vers le caporal. Ce guignol gueule comme un putois après sa radio. Ça y est, il sert à rien. Tiens, la commissaire s'est approchée de moi sans que je l'ai vue. J'ai peut-être une touche. Nan mais faut arrêter les conneries, c'est vraiment pas le moment de penser n'importe quoi. N'empêche ça ferai bien dans un bouquin, ou dans un jeu de rôles. T'es vraiment trop grave.
Hein ? Quoi ? D'autres coups de feu, à l'arrière Quelqu'un vide un chargeur, et ne automatique cette fois ! (respire un grand coup) ... Tss... faut que j'perde cette habitude de dialoguer mentalement avec moi même. La situation est critique, et ça doit être ma façon de dédramatiser. Merde . Je sens une montée de chaleur ; mon cœur s'emballe : rien d'anormal, il fait ça tout le temps. Mais J'ai l'impression que cette fois ce n'est pas dû à mes affects personnels. Je me rends compte que je n'avais pas réalisé la gravité de la situation. Mes mains commencent à trembler. Hm ? Le panneau de commande de la porte est à ma portée, ma parole. Ma respiration s'est emballée aussi. J'suis vraiment trop fragile. Je me tourne vers la flic.
« Moi : ...Il faut qu'on ferme cette porte. »
Mon regard doit être celui d'un chien battu. On dirait une tentative désespérer de récupérer une ex. Et merde, je sens que les larmes me montent aux yeux, elle va croire que j'bluffe. Quand j'me force à pleurer c'est pour les émouvoir habituellement, et elle a dû en voir d'autres. J'suis décidément trop nerveux. Ou sensible. Je t'en supplie, commissaire ; un signe d'approbation de ta part et je ferme cette porte, quitte à me faire cogner par le bidasse. Il me faut un soutien. Ce que je peux être lâche.
Je soutiens son regard de mes yeux bleus embués tout en hochant la tête de supplication. On va tenter le coup du chien battu, tant pis, j'ai trop peur. Ce chargeur vidé en auto, c'est soit un terroriste, soit un militaire dépassé. C'est pas bon.
HP : @ Teincher je sais que ce n'est qu'une mission d'entrainement, mais si les évènement devaient mener à la mort de Schultz, ce ne serait pas grave ; J'aimerai jouer un autre style de perso plus tard. Enfin, je ne dis pas de le faire mourir ^^ il reste agréable à jouer. Bref, si tu es d'accord pour considérer la mission comme "réelle" à l'égard de Danny, ça me va. Je comprendrais aussi que tu ne veuilles pas ^^ et j'avais compris pour la porte ; )
PS : @ missb j'attends ta réponse aussi du coup xD si tu veux que je ferme la porte avant la prochaine intervention de Teincher ^^

P : Kabrial
Karl avait demandé aux gens de s'éloigner des fenêtres, mais visiblement sa remarque avait eu autant d'impact que la demande de toubib par le caporal. Un vieil homme aux cheveux blanc s'entretenait avec le caporal qui visiblement s'était enfin décidé d'écouter certains passagers. Quand Karl arriva à leur hauteur (hp : du groupe schultz et catherine), ces derniers avaient terminés leur conversation animée. Il commençait à manquer d'air dans ce train. L'air était vraiment malsain. Kabrial essaya tant bien que mal à regarder dehors. A présent, il s'en moquait d'avoir des explications par les militaires, apparement ils étaient aussi naze que leur confrère, pensa-t-il. L'homme aux lunettes et la femme à l'insigne étaient aux premières loges, surtout l'homme attaché. Encore une fois, Karl put lire sur le visage d'un passager une forte expression. En jettant de petit coup d'oeil, Karl pouvait apercevoir juste le soldat fraîchement descendu du train, arme à la main. Arme à la main prêt à tirer ??? Kabrial pu entendre :

-Soldat : On ne bouge plus, plan vigipirate.

-C'est pénible, je n'arrive pas à voir, marmonna-t-il mais la femme flic ne releva pas.

-Caporal : Ouvre le feu c’est un ordre

Il a besoin de gueuler sans cesse celui-là...

Coups de feu consécutif. Ici, prêt de la porte d'entrée de ce wagon. Puis autres coups de feu, un peu plus loin cette fois-ci.

La radio du caporal recracha un contenu vocal. D'autres incidents similaires...

L'homme menotté chercha dans le regard de la personne la plus proche de lui, un soutien. Quel soutien ? La femme au flingue ne réagissait plus beaucoup malgré son apparence dynamique. Et lui, là, l'homme aux lunettes embués, qu'est-ce qu'il attend ?

Il faut fermer la porte, pensa Karl. A ce moment même la porte était déjà entrain de se refermer dans un bruit mécanique. Kabrial comprit que l'homme menotté, dans une décision qui avait semblé s'étendre sur des heures, désirait également le bouclier métallique de la porte du train, à la frontière de chair que constituait son mince corps. Sage décision... ? Kabrial comprit de surcroît que l'homme balafré sortant des toilettes avait certainement dû proposer cette action en criant.

Karl était partagé entre deux choix. Dans l'un, il veut aller voir l'homme menotté qui visiblement n'a pas été attaché là intelligemment, mais plus par un coup de tête militaire. Son visage n'inspire pas la gaiété mais après tout Kabrial n'était pas dans une quête de collections d'amis. Dans l'autre choix, il avait remarqué que la belle femme qui avait tenté de lui parler dans une langue étrangère n'était plus présente. La porte des toilettes semblait être entre-ouverte. Où pouvait-elle bien être ?

HP : Conteur

Pas assez de réponse pour continuer. Je réponds demain.

P : Schultz
La brute s'est tourné vers nous. Il ressemble un peu à Steven Seagal dans ses anciens films. Il regarde la porte. Il a dû comprendre... Et merde ! Combien de temps j'ai passé à paniquer, là ? Si je ne fais rien maintenant personne ne le fera à ma place, cette fois-ci. C'est pas le soutien de la commissaire dont je rêvais, mais ça fera l'affaire, je suppose. Je tends le bras vers le panneau d'activation. Aïe, mon bras ; foutues menottes. En m'étirant un peu, j'atteins le bouton de fermeture des portes. Le temps que la porte se ferme, je crie au soldat resté dehors :
« Moi : ATTENTION, D'AUTRES ARRIVENT PAR L'ARRIÈRE ! Je me tourne vers Julie Lescaut et Steven Seagal. C'est vrai, je les ai vus ! Je sais pas c'qui s'passe mais c'est pas bon ; J'veux pas mourir ici ! Faites quelque chose pour ces menottes, s'il vous plait ! »

Le gros nounours a l'air rassurant. Même si j'aimerai pas qu'il m'en colle une, il m'a plus l'air d'un Petit Jean que d'un Myke Tyson. Sa présence me rassure, d'autant que c'est lui qui m'a sorti de mon apathie passagère. J'vous avais dit que j'avais besoin d'un psy ?
HP : Allons bon, j'ai pété le quatrième mur xD Je sais pas si ça se fait trop, mais c'était exceptionnel ^^

P : Conteur

L'attention est catalysée sur la porte ouverte. Et donc sur Schultz ^^.

Le soldat est toujours dehors entrain d'inspecter les bléssés. Il tente même de leur parler.

-soldat : On ne bouge plus, stop ! mais .... "mazette" caporal ! Ils n'ont pas l'air en bonne santé.... ils n'ont même pas l'air humain. Sainte Marie!

Scultz se décida à fermer la porte. Cette action échappe à l'attention du caporal, toujours entrain de parler avec un correspondant à l'autre bout de la radio.

Schultz, en fermant la porte décida de laisser le soldat au dehors. Pour se donner bonne conscience, il l'avertie tout de même

« Moi : ATTENTION, D'AUTRES ARRIVENT PAR L'ARRIÈRE !

Et là, le soldat se retourna rapidement et vit la porte se fermer dans un bruit métallique .

Le caporal sortie de sa communication en entendant la porte se fermer!

-Caporal : M**** mais Ju est toujours dehors!! Qui a fermé! Ouvrez moi cette porte immédiatement, c'est un ordre.

Le militaire prit un ton autoritaire, à la fois confiant et menacant et se dirige vers le panneau de controle de la porte. Pour cela il se fraye un chemin à travers Cath et Karl (// A vous de décrire vos réactions, dont va dépendre ce que le caporal va faire).

// Dehors

Le soldat articulle quelques choses mais personne ne comprit ce qu'il venait de dire, la porte étant fermée! Schultz discerna clairement la stupeur sur son visage et le reste de son corps.
Le self controle dont il a fait preuve auparevent semble s'envoler. Il réussi quand même à se resaisir (trop tard????).
Il leva son arme et fit feu. Sans sommation cette fois, sans coups de semonce. Cette fois, il vise directement le torse des "assaillants", sa vie en dépend.

Les tirs font un boucant d'enfer, plusieurs se couvrent les oreilles. Il ne s'agit plus de coup par coup, mais de rafales et le chargeur se vida rapidement.

Malheuresement, dans sa panique, une balle perdue alla fracassé une des vitres du wagon et blessa (légerement!) ses occupants à cause des débris de verre. Mais au fait, où est allé la balle? Et pourquoi y a t'il une flaque rouge au sol ?
Un membre des fan de SW pousse un cri (une femme ). Mais personne ne s'attarde réellement sur l'intérieur du wagon, mais plus sur l'extérieur.

En effet, le combat ne s'est pas fini. Un humanoide se jeta sur le pauvre soldat resté dehors. Le FAMAS tomba à 3 mètres de lui. Les deux masses faites de chair et de sang se livre un combat à main nu. Même si l'humanoide semble être pourvu d'une force remarcable (à en jugé par le plaquage qu'il a réalisé sur le soldat), le militaire semble prendre le dessus grâce à ses techniques de combats. Deux secondes après, il dégaina son arme de poing, et fit à nouveau feu. Une fois. Puis deux, puis trois....vers l'arrière du wagon.

//

Une fois échappe à l'ensemble des passagers, sauf à Cachou et Zevetiev.
Ils virent clairement une robe rouge courir. S'éloigner du train.
Mais qui est-ce donc? Mais.. la jeune allemande était vétue derouge non? MAis comment diable est elle sortie du train?

//

Schultz, Karl et Cath ne virent plus la suite du combat entre le militaire et les zom..euh les assaillants. Au niveau du hublot de la porte, une figure est apparue. Une figure a un large sourire et est couverte de sang. Elle aurait très pu appartenir à un être humain, mais il y a longtemps, très longtemps. Ses yeux ne semble vouloir qu'une chose : du sang.

Cet humainoide se mit à frapper la porte de toutes ses forces, mais aussi sur la paroi du wagon. Et au hasard de ses coups, il semblerait qu'il ait activé le mécanisme d'ouverture des portes, situé à l'extérieur du train...

La porte s'ouvre lentement.

// A vous

HP : Je précise : Décrivez moi vos réactions. Si le texte est bien fait et l'action crédible et détaillé, je validerais.

pendant que le soldat inspectait les 4 corps inertes qui reposaient à seulement 5 ou 6 metres de l'entrée du waggon, le Caporal braillait dans sa radio. On entendait desormais que lui. Les 7 coups de feu tirés quelques instant auparavant avaient provoqué un silence lourd, chargé de tensions... La plupart des voyageurs n'avaient sans doute jamais entendu un VRAI coup de feu... "Quelle chance!" pensa catherine, elle voudrait parfois que cela soit son cas egalement...

Soudain, une seconde petarade retentie vers l'arriere du train, la sortant de sa reverie. L'homme menoté s'agita, il commencait a transpirer, il avait peur... Quoi de plus naturel apres tout? Il essayait visiblement d'attirer son attention. Elle decida pour la premiere fois de s'interesser un peu a lui et savanca d'un pas pour pouvoir avoir le meme point de vu que lui sur les evenements du dehors. En face de la porte le soldat se tenait acroupi pres d'une des victimes de ses tirs qui montrait visiblement quelques singnes de vie. RAS. Elle se tourna face a lui et planta son regard dans le sien, mais lui ne la regardait pas. A present son visage était deformé par la stupeur, et ses yeux bleus délavés que l'alcool avait jauni et rendu vitreux étaient desormais rivés sur quelque chose qui se trouvait deriere elle. Elle se retourna vivement pour s'appercevoir avec horreur qu'une demi douzaine d'individus aux traits deformés par la rage se precipitaient droit sur eux!
L'homme prisonnier de la barre de soutien s'adressa à Catherine avec une voix rauque et legerement chevrotante:

schultz : -...Il faut qu'on ferme cette porte.

La grosse brute qui se tenait derriere s'était avancé et se tenait maintenant a notre niveau. Son visage n'etait pas tres expressif, mais son vague air resolu et son hochement de tete en sa direction suffit a le convaicre. Il tendit le bras en direction du bouton situé a l'exterieur du waggon. Trop court. Il s'étira de toutes ses forces et parvint enfin a l'atteindre. la porte commenca a se fermer tres lentement en grinçant... C'est a cet instant que notre contorsioniste se mit a crier en direction du soldat encore dehors:

schultz : -ATTENTION, D'AUTRES ARRIVENT PAR L'ARRIÈRE!

Seigneur! Ils n'avaient meme pas pensés a lui! Catherine se mit a crier a son tour:

Catherine : - DEPECHEZ VOUS DE RENTRER!!!! ILS SONT TROP NOMBREUX!!!!

Elle se mit devant la porte pour l'empecher de se fermer, le soldat reagissait enfin, il se releva mais et entrepris de la rejoindre mais quelque chose le reteint. L'homme qu'il avait couché quelques instant auparavant avec un balle en pleine poitrine se cramponait a sa cheville comme si sa vie en dependait! De son coté Catherine avait de plus en plus de mal a ralentir la fermeture de la porte, son epaule la faisait terriblement souffrir. Elle ne tiendrait plus tres longtemps. Et ce gros ahuris qui restait les bras ballants sans faire le moindre geste pour l'aider! Son bras etant coincé, elle ne pouvait atteindre son arme de service pour defendre le pauvre homme terrifié qui se debatait comme un dement pour se liberer de l'etreinte du moribond. Les autres assaillants se rapprochaient de plus en plus et elle devait faire un choix. Elle s'extirpa de l'etaut dans lequel elle etait prise et pria pour que la porte se ferme a temps. Elle jeta un dernier regard au militaire qui semblait avoir repris ses esprits et se souvenir qu'il avait une arme. Elle n'eut pas le temps d'en voir plus car trois des individus qu'elle avait appercu en se penchant juste avant de laisser la porte se refermer vinrent se presser contre la porte, frappant, tambourinant, criant pour qu'on leur ouvre... Elle cru sentir son coeur s'arreter de battre quand elle pu voir enfin voir de pres les visages de ses assayants... Un frisson d'effroi lui remonta du creu des reins jusqu'à la nuque.

"Le prisonnier" pris a nouveau la parole et d'un ton suppliant, les larmes aux yeux lui dit:

Schultz : - Je sais pas c'qui s'passe mais c'est pas bon ; J'veux pas mourir ici ! Faites quelque chose pour ces menottes, s'il vous plait!

Elle n'eut le temps que de hocher la tete, a peine avait elle pris sa respiration pour lui repondre qu'un hurlement suivit d'une raffale de coups de feu venant de l'exterieur se fit entendre... Cela dura bien 15 longues et interminables secondes. Puis, a nouveau, le silence uniquement rompu par les grognements et tambourinements des trois hommes(?) tout droit sortis des pires cauchemars de Catherine. Elle eut du mal a detacher son regard de cette vision d'horreur, mais quand elle le pu, c'est vers "le prisonnier" qu'elle se tourna pour dire:

Catherine : - La clef merde! C'est le soldat dehors qui a la clef des menotes!


HP: Je me suis permise de prendre quelques libertés, si ca ne vous convient pas je peut tout a fait apporter les modifications necessaires. Teincher je ne sais pas non plus si je ne vais pas un peu trop loin dans l'histoire... donc pareil, si il faut modifier il ne faut pas hesiter a me le dire pour que j'edite tout ca.

Ps: schultz tu es un des perso les plus interessant de la partie donc ca serait relou que tu meure tt de suite. pi j'avoue que tu serais peut etre celui ac lequel j'aurais le plus de facilité a interagir dc attend un peu stp lol

HP : Teinch

T'inquiète pas, c'Est un très beau post, je vais me débrouiller pour en faire quelques choses

HP : tu peux continuer à partir de mon mail.
Il ne change pas.

Je donnerais des détails supplémentaires à partir de ton ancien mail (qui n'est pas 100% incompatible).

Mais continuez l'histoire.

J'attends vos réponses pour écrire la suite. Je ne réponds pas sur un seul poste.