Panique sur la ville - Première mission

P : Kabrial

- ATTENTION, D'AUTRES ARRIVENT PAR L'ARRIÈRE !

L'homme menotté sorti Kabrial de sa réflexion. Karl se décida et choisit la première option, à savoir se tourner vers cet homme.

-Caporal : M**** mais Ju est toujours dehors!! Qui a fermé! Ouvrez moi cette porte immédiatement, c'est un ordre.

En passant, Karl se mit un peu en retrait. Décidemment, c'est un peu comme si tous les éléments se mettaient toujours sur cette route qui séparait Karl de l'antimilitariste. Dans une cacophonie melant la voix militaire, le bordel dehors, les interrogations des passagers et la radio énervante, Karl avait envie presque envie d'engueuler le caporal. A son habitude, Karl était du genre solitaire, calme mais très râleur. Il ne supportait absolument pas les personnes qui ouvrait trop facilement leur ... Comme lors du contrôle, il se contentait d'essayer de zapper la pseudo-supériorité du militaire mais là s'en était trop. Il essaya mais en vain, marre d'obéir aux ordres, marre d'écarter son chemin, marre de se soumettre à ce troufion (comme l'homme à lunettes semblait lui dire télépathiquement), il ne put se retenir :
- bon vous allez commencer par arrêter d'gueuler, dit-il calmement malgré la situation, après tout, de par son physique il ne craignait pas grand chose du militaire.
- ce n'est pas en l'ouvrant qu'ça changera quelque ch... il ne pût finir la fin de sa phrase. En effet, Kabrial put percevoir un bruit de verre cassé net. Il ne comprenait toujours pas ce qui se passait à l'extérieur, pas plus que les autres passagers d'ailleurs, mais lui il n'avait absolument rien vu de concret, juste des fantaisies dans ce noir obscur, et pourtant non loin de lui gisait une personne, inerte, figé dans le temps.

Il fallait se concentrer davantage, il se retourna vers le groupe et il fixa le vide à travers ce hublot qui ne montrait rien d'autre que du noir. Karl était assez fan de films en tout genre, après tout il se rendait bien à cette convention SW. Il était aussi fan de films d'horreur. Il a longtemps cru qu'il saurait réagir d'une façon convenu à la place de ses protagonistes chassés par des Freddy ou des tueurs psychopathes portant des masques. Il a longtemps cru...jusqu'à aujourd'hui. Quand soudain, Karl sursota. Au niveau de ce hublot apparu une figure. Une figure ? Ca n'y ressemblait plus en tout cas. Un sourire sadique et bestial assoiffé de sang... Il ne manquait plus qu'un nez rouge et un maquillage de cirque et on se serait presque cru dans un bouquin de Stephen King.
A présent, Karl ne répondait plus que par l'instinct animal. Comme si on avait inversé la vapeur, il ne pouvait plus répondre que par le programme qu'il s'était fixé : aider quelques personnes et sauver sa peau. Et bien que Karl n'avait pas vu grand chose dehors, comme certains chiens du Japon qui pressente les séismes quelques heures avant le moment t, il devina l'aspect chaotique de la situation, son instinct de survie se mit en marche.

Le monstre dehors commence à s'exciter sur la porte.

La porte s'ouvre lentement. La porte s'ouvre lentement ?

- Je sais pas c'qui s'passe mais c'est pas bon ; J'veux pas mourir ici ! Faites quelque chose pour ces menottes, s'il vous plait!

- La clef merde! C'est le soldat dehors qui a la clef des menotes!

Peu importe, dans certaines conditions l'homme peut être tellement surprenant. Kabrial dépassa le caporal et la femme flic qui avait tenté de retenir la porte, et il saisit non pas les menottes mais carrément la rembarde avec la main droite. Tout en rétractant son bras, il concentra une grande force dans celui-ci. Il prit une grande inspiration.

Et d'un grand coup, il forca sur la barre de fer...

John eu à peine le temps de se remettre de ses émotions, que tout se passa très rapidement, il fut un peu confus.
D'abord un militaire qui tire au dehors. On peut clairement entendre son collègue le féliciter, c'est que ce doit être important.
Puis d'autres coups de feu, cette fois plus en arrière retentirent. Un deagle j'aurais dis, peu importe de toute façon ....
Cette fois c'était bien réel, plus personne n'était scotché aux fenêtres, mais tout le monde était dans l'allée centrale recroquevillé, un vrai merdier.

J'entends vaguement une femme des forces de l'ordre parler, ainsi qu'un "bandit" à l'air dément. Ils ont l'air de stresser et je lis la peur dans leurs yeux.

Tout se passa si vite .... Le coup de feu, la fenêtre éclatée.... Une fraction plus tard, le sang écrevisse s'infiltrait déjà sous mes mocassins ....

Mais pourquoi la porte se ferme-t-elle ??? Voilà l'autre militaire qui hurle ! pensais-je dans ma tête :

-Caporal : M**** mais Ju est toujours dehors!! Qui a fermé! Ouvrez moi cette porte immédiatement, c'est un ordre.


Je pris peur, et décidé d'agir !
J'avais une clanière sur ma sacoche, je l'arracha et décida qu'elle pourrait servir si jamais la horde entrait dans le train. Je me fraya un passage parmi la masse et alla au dernier rang de sièges, plus personne n'était assis ici. Je me suis donc accroupi, et fixa la lanière à une hauteur d'environ 30 centimètres entre les 2 sièges centraux.

Le piège est en place pensais-je, il pourra servir à ralentir les assaillants si jamais ils entraient par derrière, ils se prendraient tous les pieds et s'entasseraient lamentablement.

Personne n'avait fait attention à ce que je faisais, certains pleuraient, d'autre hurlaient .... Quel horreur !

Je monta sur un siège pour mieux voire ce qui se tramait devant : je vis un grand type, le même que tout à l'heure ... qui commença à forcer sur la barre où était attaché le prisonnier.
Je voyais d'ici les veines frapper sa tempe tellement l'effort était puissant. Il s'y reprit une deuxième fois dans une autre position, la femme flic à côté était stupéfaite et ne savait que faire pour l'aider, parce que on me l'a fait pas à moi, ça se voit qu'elle a envie que l'alcoolo (à en voire l'éponge qui lui sert de nez)soit libéré ...
Après quelques secondes de stupéfaction, le prisonnier se mit à aider mr muscle, je ne sais pas si ses 50kg tout mouillé changeront quelque chose, mais il a bien envi de se libérer le bougre.... !!

HP: désolé mais avec les fêtes qui approchent et mes nombreux déplacements entre la France et l'Allemagne plus tous les dossiers qu'il me reste à rendre vous comprendrez que j'ai plus trop le temps de participer au RP en ce moment. Mais je reprendrai du service en janvier. Je repasserai en coup de vent d'ici là ++

P : Schultz
La brute renvoie chier l'officier qui m'engueule d'avoir fermé la porte, puis s'approche de moi. Une balle perdue arrive à l'intérieur du train. Les gens paniquent(coup d'œil au dessus de l'épaule de Karl). Je crois que quelqu'un est touché, mais je ne suis pas sûr... La brute commence à forcer sur la barre d'appui, pour la faire sortir de ses fixations. Je le regarde, ne dis mot(juste un sourire léger) et me met à tirer sur la barre aussi fort que je peux, en appuyant mes deux pieds contre la paroi pour me donner de l'appui, quitte à me casser la gueule. Ça l'aidera peut-être.
HP : Stub, ça veut dire qu'on ne compte plus sur toi pour finir cette mission ?
@Weemba : attention, comme dis précédemment, tu ne peux modifier que tes actes. Si kab' force sur barre d'appui, et même si je l'aide, c'est à Teincher de déterminer si on y arrive ou pas. ET aussi méfie toi de la cohérence : peu de millionnaires se baladent avec un bout de ficelle résistante dans la poche ^^ Sinon, continue comme ça, c'est pas mal. Prends en de la graine et améliores-toi ; y'a matière pour faire un pur perso ^^. Si tu ne comprends pas trop l'intérêt de jouer comme ça, dis-toi que ça vient avec l'expérience et les différentes parties(nos persos ne seront pas toujours dans ce wagon maudit), mais ça vaut le coup ^^
Bref, si d'autres comptent lâcher jusqu'à la fin des vacances, ce serait sympa de le préciser aussi, qu'on finisse sans les attendre ! Il y aura d'autres parties, et d'autres occasions ; )

HP: désolé, mais pour la cordelette, ça peut passer ... enfin quoi que ^^
J'essaie de m'améliorer ....

HP : rolalala le bordel les fetes de fin d'année ... bon je me retire , j'ai pas de temps dispo depuis 2semaines (chaud chaud je risque d'etre virée de mon bahut enfin 36-15 ma life ^^ )

bon RP a tous

Catherine: la clef merde! C'est le soldat dehors qui a la clef des menotes!!!

Un instant Catherine cru qu'il allait s'effondrer sous le poid de cette terrible nouvelle... Le sentant pret a baisser les bras, elle se mit a reflechir, mais le stress et la panique embrumait son esprit et rien ne semblait pouvoir sortir le pauvre homme de son impasse...Tandis que le Caporal nous sommait, en vain, d'ouvrir la porte tout en beuglant dans sa radio il se fit severement remettre en place par la grosse brute qui semblait enfin sortir de sa torpeur... Un eclair traversa son regard (une idée peut etre?) il agrippa la barre de soutiens et tira de toutes ses forces dessus tres vite aidé par son prisonnier qui appuya meme ses deux pieds sur la paroie en face de lui pour y mettre toute sa force.

Pendant ce temps, les creatures au dehors continuaient de se dechainer sur la porte et sur le hublot et il ne leur faudrait sans doute plus beaucoup de temps pour parvenir a en venir a bout! Si il restait attaché là à ce moment, il serait leur premiere victime. Il n'aurait aucun moyen de se defendre ou de fuir. Elle ne pouvait pas se resoudre a le laisser a son triste sort sans rien faire. Elle commenca a donner des coups de pied sur la base de la barre dans l'espoir de dechausser les vis qui la maintenait en place. Elle se sentait desormais coupable de ne pas lui avoir tendu la main quand il se faisait arreté par cet abruti de troufion alors qu'il avait demandé son aide et son soutiens... Ce qu'elle pouvait etre conne avec ses prejugers et sa mefiance deplacée envers chaque individu portant pas son appareil reproducteur a l'interieur de ses trippes! Elle decida que s'ils n'arrivaient pas a le delivrer avant que leurs assaillants ne penetre dans le waggon elle resterai pres de lui pour le defendre... apres tout c'etait son boulot, et son arme de service n'etait pas la pour la déco...

HP: je sais que je vous ai habitué a plus long mais la, comme tout le monde, je n'ai pas une minute a moi et ca devient compliqué de passer plus de 20mn dessu... en meme temps on a pas grand chose a se mettre sous la dent pour l'instant, la main est plutot a ceux qui ont vu la marre de sang... il n'empeche que je vais essayer de continuer de passer minimum tt les 2 jours jusqu'au bout, je me suis engagée alors apres tout y'a pas de raison

HP : teincher

Lol missb, maitenant c'est à mon tour d'écrire jsute après toi... je lis ton mail et je corrige le mien ^^

HP : Teincher

@ Missb : Ton poste qui a croisé le mien est bon, on change la partie ou tu retiens, la porte. Tu ne la retiens qu'un bref moment, pas assez long permettre au soldat de reprendre ses esprits. Et il n'y a pas 3 "humanoïdes" mais seulement 1. Sinon, on est sur la même longueur d'onde

Sinon pour ton nouveau poste, c'est cool , juste une phrase à changer sur mon mail

P :

Karl, qui malgré la situation arrive à garder son calme, mis tout sa force sur la barre qui retenait prisonnier Schultz. D'ailleurs celui-ci aida son libérateur ainsi que la commissaire.
Les concepteurs d'Alstom ont plus misé sur le desgin que sur le solide. Car la barra céda sur une extrémité, assez facilement (faut dire que le support est en plastique), mais l'autre extrémité reste fixé au mur (hp : si tu veux détacher complétement la barre et t'en servir comme canne ^^, il faudra forcer un peu plus).

Schultz, en faisant glisser la menotte le long de la bare peut ainsi se libérer.

HP : Je vais passer à un autre mode de jeu maintenant, en vous laissant plus de liberté dans l'écriture. Je vous donne quelques détails et ca sera à vous d'écrire la suite (en restant réaliste ! mais vous êtes bien partis). Ah au fait, je ne l'avais pas vu venir le coup de la barre. Bien joué

P:

La plupars des passagers (les PNJ en fait) sont maintenant tous accolé au mur du wagon, celui qui donne sur l'autre coté de la voie. Tous saus un, un boba fett qui a perdu son casque... avec un bout de sa tête à l'intérieur.

//radio du caporal

*-hicham (on sent la douleur dans sa voix) : caporal, "ils" sont rentrés et viennent vers vous. J'en ai tué plusieurs mais ils m'ont eu. Ils m'ont mordus et arrachés une oreille. Arthur (le second militaire du second groupe) m'a sauvé la peau, mais une partie du groupe a pu fuir vers l'avant. Faite gaffe, ils sont malades.

Le caporal tente de synthétiser la scène comme il l'a appris à l'entrainement.
Il faut réfléchir, réfléchir !
Deux zones de front avérées: la porte et la fenêtre ouverte.
Deux autres zones potentielles dont une hautement probable : l'avant mais surtout l'arrière du train à cause des tirs venant d'Hicham et de son message de détresse.
Deux personnes en armes et peut être une troisième si Ju est toujours vivant.
Bref, la situation est "simple".

-Caporal (inspiration profonde - la porte est au 1/4 ouverte) :
Commissaire, allez sécuriser l'arrière du wagon, je me charge de la porte. Vous deux (en parlant de Karl et Schultz) retourner dans le wagon et fissa. Si 'ils' rentrent ici, tachez de vous défendre au mieux. Ah et vous, prennez ca (clique_ici) et sécurisez la vitre (Karl). (hp : tu n'as qu'un chargeur)

En disant ca, le caporal fit à feu vers la porte ouverte et terrassa l'homme au visage déformé. Mais d'autres arrivent déjà.

HP :
Oki, maintenant c'est à vous de gérer :
- la fenètre ouverte.
5 zonzon vont tenter de l'escalader. Au moins deux réussiront à rentrer. Que faites vous ? (vous avez le droit de tuer 3 d'entre eux, les deux derniers, je déciderais de leur sort en fonction de vos réponses.

- l'arrière du wagon :
12 autres zonzon arrivent vers vous en deux groupes (un par la porte ouverte par Natacha et l'autre étant le groupe venant d'Hicham). Le piège de John marche (deux zonzons se rétament la fratz, euh la face). Vous pouvez maitriser le premier groupe sans soucis (si c'est bien décrit), pour le second groupe (qui arrive un peu en retard), vous me laisser juger de la réussite de vos actions, au moins pour les 3 derniers zonzons.
A vous de voir comment et avec quelles armes (réaliste hein !! allez pas me trouver un AK47 sous un siège) vous allez vous défendre.

HP: decidement on est tjs dispo a la meme heure lol, je n'ai pas mis gd chose d'interressant pour l'instant, donc tu es assez libre pour ce qui est de la suite.

EDIT: que du bon! pas le temps d'ecrire tout de suite, j'essairai demain soir... enfin de l'action! BASTOOOOONNN (clin d'oeil aux fans de ddn)

P : Schultz
Finalement, la fliquette vient aider la brute. Deux personnes prêtes à m'aider gratuitement dans une situation comme ça, c'est rare. Je regarde la barre d'appui dont je viens de me libérer : elle cassera avant mon ennemi, c'est sûr. Évidemment, tout est en plastoque ; rien ne peut faire office de matraque. Merde, un mec est au sol ! Je dépasse Petit Jean et Mère Térésa et me précipite vers lui, il n'est pas très loin... Aïe. Il est salement touché. A la tête. Je tâte son pouls à sa carotide : s'il en a encore, je ne le sens pas... J'ai déjà vu des morts mais c'est la première fois que je vois quelqu'un mourir. Un mouvement à l'arrière du wagon m'attire l'œil. Un groupe de plusieurs hystériques nous arrivent dessus. La porte est restée ouverte ? Quand ? 'Chier...
« Moi : HEY ! ATTENTION, Y'EN A QU'ARRIVENT PAR LA ! »
Je... Tiens, quelqu'un a attaché une lanière à hauteur de chevilles entre deux sièges à l'entrée arrière du wagon. Pas con. Je me tourne vers le premier mec que je vois ; un gars, sur ma droite, d'environ mon âge, bien habillé et propre sur lui.
« Moi : Il faut qu'on fasse quelque chose ! »
HP : Le mec à qui je parle, c'est john ^^ et sinon je reposterai dans la journée, après vos réponses, là j'avais pas trop d'idées. question : peut-on faire agir les absent ? je ne pense pas que le perso de stub resterait indifférent, par exemple

Schultz a écrit:

P : Schultz
Je regarde la barre d'appui dont je viens de me libérer : elle cassera avant mon ennemi, c'est sûr. Évidemment, tout est en plastoque ; rien ne peut faire office de matraque. Merde, un mec est au sol ! J

HP Tein : seul les parois sont en plastoc, la barre elle est en métal. Enfin, j'dis ca... j'dis rien :d (je l'ai peut être surtout mal dit dans le post précédent. )

EDIT : Pour faire réagir les autres PJ, vous pouvez à une seule condition : l'autorisation express des joueurs concernés.

Ça y est, le mec s'est libéré, il ne sait plus quoi faire on dirait .... il regarde en tous sens. Soudain, je sentis une petite brise dans ma nuque (hp: je suis toujours à l'arrière du train seul). Je me retourna rapidement et vis une poignée de mecs complètement pourris, morts. Ils leurs manquaient des yeux, des bras, des mains, des membres mais ils couraient encore vers moi, avec cette soif de sang. On aurait dit un film de splielberg !!

schultz : HEY ! ATTENTION, Y'EN A QU'ARRIVENT PAR LA !

Putain c'est quoi ce merdier !! hurlais-je en moi. Vite, je me mis à courir dans le sens inverse, vers le milieu du wagon. La porte était restée ouverte, putain je rêve, j'avais pas vu !!
Vlà l'autre qui arrive vers moi, j'apprécie sa présence, j'étais à 2 doigts de m'évanouir.

schultz : Il faut qu'on fasse quelque chose !

Moi : Bien, j'ai posé un piège la-bas, on verra bien

Boum bada&@!!#!@##&boum !!!!!! @#!**@ gnaarrg !!!
Moi : En voilà 2 qui sont tombés au sol, ils ne bougent plus. La tête du plus moche ne tenait plus que par un fil et l'autre semblait ne pas avoir d'os, puisque sa tête était au niveau de ses pieds, et ses bras se retrouvaient entortillés autour de son dos à l'envers ... Les suivants enjambèrent rapidement les 2 cadavres ....

C'est maintenant ou jamais vieux, attrape ce qui pourrait te servir de pieux !

Je sentais monter une folie meurtrière en moi, certainement un instinct de survie qui refaisait surface cachés par des milliers d'années de culture de l'homme. Je me sentais fort, musclé. Mes sens s'égaillaient et mon attention restait fixée sur ces choses qui nous fonçaient dessus ... J'y allais à mains nus !

(hp : les autres personnes du train sont certainement en train de se battre avec ceux qui veulent entrer par la fenêtre, dû moins essayer de les retenir ; quant à schultz et moi, c'est maintenant que ça se passe. peut-être as-tu réussi à attraper un outil, quelque chose ?

ps: pour mon côté tactique et malin, dans ce genre de situation on a pas le temps de réfléchir à un piège qui permettrait de s'en sortir sans se mouiller le costard... Là c'est la jungle, même le plus mince, le plus maigre ou le plus malade réagit dans la mesure où il en est capable

J'espère que c'est pas trop mal)

P : Kabrial

Kabrial avec l'aide du "prisonnier" s'agita sur la barre qui ne résista pas vraiment, c'était vraiment facile pour Karl, tout seul il aurait pu en arracher 2-3 en même temps. La femme flic foutait des coups de pied dans le pan de vis qui la retenait. L'homme aux lunettes pouvait enfin se libérer. La barre pourrait servir d'armes, mais le militaire passa une arme à Karl. A quoi bon ? Karl avait-il vraiment besoin d'une arme ? Il allait la passer à l'homme aux lunettes, mais le militaire semblait insister pour que j'en fasse bon usage et nous sollicita de déguerpir d'ici, il s'occupait de la porte et des visiteurs qui se trouvaient derrière.

- HEY ! ATTENTION, Y'EN A QU'ARRIVENT PAR LA !

Karl apercevait dans le fond une espèce de remue-ménage, c'était un mouvement chaotique et désordonné fait de sang et de chair en putréfaction. C'était surréaliste, comment pouvait-il croire ce qu'il voyait ? On ne voyait ça que dans les films. C'est une blague ! Non ça n'en était pas une, le militaire n'aurait jamais mis une arme entre les mains d'un gars qui venait de l'agresser verbalement. L'homme antimilitaire était devant lui, un mouvement sur sa droite l'interpella, ça venait de dehors. Il y avait d'autres ...zombies ? mais oui c'est ça qu'on appelle des zombies, du moins ça y ressemble fortement!

Tout en s'adressant à l'homme en lunettes :

- ehh ! regarde y'en a d'autres qui arrive aussi par là...

Karl voulait lui demander comment il s'appelait mais la situation ne s'y prêtait vraiment pas, d'autant plus que l'homme semblait converser succinctement avec un type classe qui lui conseiller de se trouver une arme. Ils regardaient en direction du sol. Les "monstres" se cassaient la gueule un par un.

Karl leva son bras, en direction de la fenêtre à moitié cassée. Les autres passagers semblaient paniqués, remarque, qui ne l'était pas ici ? Peut-être la femme flic qui semblait garder un réel sang-froid, c'était vraiment impressionnant pour une femme, pensa Karl.

Il ne savait si d'autres passagers allaient l'aider mais il fallait se presser, les agresseurs n'attendraient pas.

Karl appuya non pour la première fois de sa vie sur une détente. Les vraies armes à feu ça n'était pas spécialement son truc, mais dans cette condition, il n'avait pas envie de toucher ces drôles de spécimens tant qu'il en avait la possibilité. Il connaissait un certains types d'armes, ça n'était pas tout à fait les mêmes - que celle qu'il avait dans la main - qu'il maniait. Karl était fan de paint-ball, du coup il avait cette fibre de tireur d'élite, il en pratiquait depuis bien plus qu'une dizaine d'années.

Un bruit au seuil de la douleur auditive se fit entendre. Le bruit de cette arme avait été confiné dans ce petit espace. Un bruit tout à fait doux car les ondes se logeaient dans les parois faites de moquettes et de matières faites pour atténuer les sons qui pourraient gêner la clientèle. Il n'avait pas penser aux sons que produisent les coups de feux, c'était sûr ! Tu parles d'un soucis de détail. Il aurait mieux fait de faire des vitres dix couches, et des portes anti-zombies, pensa Karl.

La balle percuta sur son chemin le torse d'un zombie qui essaya de monter par là, il fut projeté en arrière avec violence...

HP : lol jay !!!

hp: énorme, on est bien dans l'histoire je trouve, quand je la lis je suis tout stressé ^^

P : Schultz
Les zombies se cassent la gueule au niveau du piège, visiblement posé par celui que j'ai accosté.

« C'est maintenant ou jamais vieux, attrape ce qui pourrait te servir de pieux ! »

Un pieux, pas bête. Gauche, droite, gauche... Je tourne la tête dans tous les sens à la recherche d'une arme plus efficace que la barre en plastique. Un éclair me traverse l'esprit : mais bon sang oui ! Je m'approche d'une paroi, fouille frénétiquement. Bordel, où est ce que c'est ? Avant c'était là... Foutus trains modernes en plastique ! Je met le pied sur un siège, m'accroche au compartiment à bagages, et me hisse jusqu'à ce dernier. Je pousse 2 valises, inspecte le fond.... Il est là, bingo ! Je me lâche, et retombe dans l'allée, armé de

Spoiler:

Je regarde ce qui va me faire office d'arme, le tiens à hauteur d'épaule pour le montrer au mec bien habillé et lui dit presque avec un sourire :

« Ça, ça fait mal ! Je déserre les dents. 'Doit y en avoir un de ton coté s'tu veux ! »

Je me tourne vers cette hordes chancelante qui nous courre dessus. 'va falloir frapper sec, Dan...

HP : vous aurez remarqué que ce sont des zombies genre "rec", "28 jours plus tard", ou encore "je suis une légende", et non pas comme resident evil : ils courrent, savent faire semblant de se battre un minimum... pas bon, ça ^^

P : Schultz
Un gamin d'environ 16-17 ans me passe devant. il porte un t shirt Chewbacca. Il s'interpose entre moi et les assaillants du wagon arrière, m'attrape les deux épaules et me regarde fixement.

« Lui : Dites-moi tout, pourquoi c'est pas des hommes des sables ? Lucas a l'intention de rajouter des zombies dans Star Wars, après les aliens dans Indiana Jones ? »

Un des assaillants tombés comme des merdes grâce au piège de mon collègue, se traine jusqu'à notre niveau. Il mord la cheville du plus proche : le gamin. Je ne m'en rends compte qu'au moment où ce dernier hurle de douleur. Voyant cet... "homme" au visage tuméfié et creusé par des plaies douteuses, si rageux après son pied, je mets bien une seconde à réagir.

Un coup de feu retentit. C'est Petit Jean. Je colle mon pied dans la gueule de la "chose", tout en poussant un râle de colère. Il lâche prise ; je pousse ensuite le gamin derrière moi, qui tombe entre les sièges. Il a l'air terrifié ; il vient de comprendre. S'il se met à paniquer, tous les fans de SW vont comprendre aussi. Ce trouduc peut paniquer tout le monde !

« Moi : Il faut que quelqu'un s'occupe de lui ! »

... Le mot est lâché... Des zombies, hein ? Il l'a mordu, nom de Dieu, il l'a mordu...

HP : J'ai une petite idée derrière la tête, mais je vais attendre la suite de teincher pour la mettre en œuvre ^^

HP : Teincher

Je rentre en Alsace ce soir, donc j'aurai peu de temps pour répondre.
Et de toute facon j'attends la miss ^^ (ah les femmes ).
Mais vous avez encore de la marge en terme de zombies à fracasser, je vous ai autorisé à faire un petit carnage ^^, d'ailleurs Schultz, tu n'as pas encore utilisé ton marteau (manque plus que la faucille ^^).

Citation :

HP : J'ai une petite idée derrière la tête, mais je vais attendre la suite de teincher pour la mettre en œuvre ^^

@Schultz, si je pense à ce que tu penses, je dirais que la période nécessaire à sa mise en oeuvre est suffisament importante pour être significative (et sera l'objet d'investigations futures ).